Jean-Jacques Bourdin accusé de tentative d'agression sexuelle : sa femme réagit, "On a beaucoup parlé de tout ça"
Accusé de tentative d'agression sexuelle, Jean-Jacques Bourdin peut, semble-t-il, compter sur le soutien de sa femme, Anne Nivat, qui a brisé le silence, ce lundi 17 janvier, sur France Inter.
Nos confrères du Parisien ont révélé, ce samedi 15 janvier, que Jean-Jacques Bourdin était visé par une plainte pour tentative d'agression sexuelle. Selon la victime présumée, qui préfère garder l'anonymat, les faits se seraient déroulés dans la piscine d'un hôtel à Calvi, en Corse, lors d'une compétition de pétange en 2013. Si le journaliste de BFMTV et RMC reconnaît s'être baigné avec la plaignante, il conteste fermement avoir tenté de l'embrasser de force. Ce lundi 17 janvier, c'est Anne Nivat, écrivaine et épouse de Jean-Jacques Bourdin, qui sort du silence et réagit à ces accusations.
Invitée sur l'antenne de France Inter pour parler de son nouveau roman, Anne Nivat a été questionnée très vite sur cette affaire par Sonia Devillers. "Comment vous réagissez ?", lui a demandé très simplement cette dernière. Réponse de celle qui partage la vie de Jean-Jacques Bourdin depuis de nombreuses années : "Ben... Comment voulez-vous que je réagisse ? Jean-Jacques et moi, on a beaucoup parlé de tout ça. Ce sont des discussions qui relèvent de l'intime donc je ne révélerais pas leur teneur à qui que ce soit publiquement pour alimenter le buzz médiatique". Anne Nivat a également tenu à faire quelques précisions sur sa présence dans les médias ces prochaines semaines. "C'est une pure coïncidence que la promotion de mon livre, c'est-à-dire un moment où moi-même, je me retrouve dans les médias, coïncide avec ce qu'il s'est passé ce week-end. Je ferais ma promotion et je parlerais de mon livre", assure-t-elle.
Jean-Jacques Bourdin accusé de tentative d'agression sexuelle : pourquoi la victime présumée a attendu 8 ans avant de porter plainte
Ancienne journaliste de BFMTV, la victime présumée de Jean-Jacques Bourdin a donc attendu huit ans avant de porter plainte. Chez nos confrères du Parisien, elle explique ce choix. "Aujourd'hui, je suis rangée, apaisée. Mais pendant des années, je suis allée travailler avec la peur au ventre, complètement stressée. Je porte plainte avec la conviction que d'autres femmes sont concernées et que cela va peut-être permettre de libérer la parole d'autres femmes", explique-t-elle. Toujours selon les informations de nos confrères, deux autres femmes pourraient témoigner pour des faits similaires dans les prochains jours.
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