François Busnel crée un petit moment de gêne dans C à vous
Jeudi 17 juin 2021, François Busnel était invité sur le plateau de C à vous. Interrogé sur la gifle d'Emmanuel Macron, le présentateur de La Grande Librairie a créé le malaise en répondant à la question d'Anne-Elisabeth Lemoine.
Jeudi 17 juin 2021, France 5 diffusait la deuxième édition de l'émission Si on lisait à voix haute, présentée par François Busnel. Si l'animateur était présent sur le plateau de C à vous afin de parler de cette dernière, qui remettait en jeu le titre du meilleur lecteur ou lectrice de France, c'est après une séquence sur Emmanuel Macron qu'il a créé le malaise... Dans un premier temps, la séquence a dévoilé un extrait de la rencontre du président de la République et des classes primaires de la commune de Poix-de-Picardie. Alors qu'un enfant lui avait demandé : "Ça va la claque que tu t'es prise ?", ce dernier avait répondu : "Ah bah oui ça va, c'est pas agréable hein ! Et c'est pas bien hein ! C'est jamais bien de taper même dans la cour. C'est pas bien."
Suite à la séquence, Anne-Elisabeth Lemoine a demandé à François Busnel : "Vous étiez au courant pour la gifle d'Emmanuel Macron ou vous reveniez des États-Unis, mais c'est arrivé jusque vous ?" Ce à quoi le présentateur de La Grande Librairie a répondu : "C'est bien, sans muselière, c'est pas mal !" Étonnée par sa réponse, l'animatrice a répliqué : "Ah, c'est une muselière, carrément ?" En riant, François Busnel a ajouté : "Ah bah oui, quand même ! Fallait le faire !" Afin de conclure et de passer à un autre sujet après un moment de gêne sur le plateau, la jolie blonde a simplement déclaré : "Mais vous l'avez vécu comme ça..."
L'agresseur d'Emmanuel Macron condamné à quatre mois ferme
Dans un communiqué, le procureur de la République Alex Perrin a indiqué que Damien Tarel a été présenté devant le procureur de la République en vue de sa comparution immédiate, pour "violences sans incapacité sur personne dépositaire de l'autorité publique." Si Emmanuel Macron a choisi de ne pas porter plainte et a appelé à "relativiser", son agresseur a écopé d'une peine de 18 mois de prison, dont 14 mois assortis d'un sursis.
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