Caroline de Monaco : son mari Ernst August de Hanovre condamné à de la prison avec sursis

Ernst August de Hanovre a été condamné ce mardi 23 mars en Autriche à une peine de prison avec sursis pour des faits de violences et de menaces envers ses employés ainsi que des policiers. La justice a rendu son verdict. Ce mardi 23 mars, le prince Ernst August de Hanovre a été condamné à dix mois de prison avec sursis par le tribunal régional de de Wels, en Haute-Autriche. Un jugement qui intervient suite à des faits qui remontent à l'été 2020. Le père d'Alexandra de Hanovreétait en effet accusé d'avoir violemment agressé un agent de police suite à une intervention musclée à son domicile, alors qu'il était sous l'emprise de l'alcool. Le mari de Caroline de Monaco, avec qui elle est séparée depuis 2009,  aurait égalementmenacé plusieurs de ses employés en juillet dernier, qui l'accusait notamment  de maltraitance physique et mentale. Comme le rapporte le magazine allemand Spiegel, le "tribunal a estimé qu'il était prouvé que l'homme de 67 ans, en état d'ébriété, avait agressé des policiers et menacé gravement un couple travaillant sur sa propriété". A sa peine de prison avec sursis, s'ajoute également une interdiction de résidence. Le juge a ainsi fait savoir à l'arrière-petit-fils du dernier empereur d'Allemagne Guillaume II, qu'il ne serait plus autorisé à résider au sein de son pavillon de chasse à Grünau im Almtal en Haute-Autriche et ce pendant au moins trois ans. Une sanction que le prince a du mal à digérer et qu'il a même qualifié d'"impensable", prétextant qu'il habite dans cette propriété depuis 50 ans. A noter que Ernst August de Hanovre devra également suivre une psychothéraphie. Les excuses de Ernst August de Hanovre Avant que le jugement ne soit prononcé, Ernst August de Hanovre a tout de même souhaité présenter ses excuses devant le tribunal : "J'assume ma responsabilité, je regrette ce qui s'est passé et je suis prêt à couvrir les dommages. Je ne me souviens que partiellement de ce qui n'est passé", a-t-il déclaré au début de l'audience. Des excuses qui ne l'ont toutefois pas empêché de rejeter les accusations du procureur et de plaider non coupable. Pour le défendre, ses avocats ont expliqué que leur client se trouvait dans une situation particulière au moment des faits. Ils ont ainsi mis en avant que l'homme de 67 ans venait au moment des faits de subir une opération pour un cancer  et qu'il traversait une période de conflit avec son fils. Il se serait alors senti abandonné. Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités