"Qu'est-ce qui se passe ?" : Christine Kelly perplexe après une intrusion en direct sur le plateau de Face à l'info
Ce mardi 21 juin, Christine Kelly animait son émission Face à l'info, diffusée sur CNews. Mais c'était sans compter l'interruption de deux hommes en plein direct.
Mardi 21 juin, les Français célébraient la Fête de la musique. Si France 2 a consacré une soirée spéciale pour l'événement, sur CNews, Christine Kelly animait son programme Face à l'info. Mais c'était sans compter l'interruption de deux hommes en direct sur le plateau. En effet, alors qu'elle est en train de débattre avec ses invités au sujet de la communication de La Nupes, la journaliste de la chaîne d'informations en continu s'arrête net. "C'est quoi ? Qu'est-ce-qu'il se passe ?", lance-t-elle tout à coup. Les caméras se tournent et les téléspectateurs peuvent observer Pascal Praud accompagné d'un autre journaliste, téléphone à la main, en train de diffuser de la musique et de danser.
Christine Kelly se retrouve alors avec les deux journalistes en train de se déhancher en plein direct : "C'est après ce n'est pas maintenant", les prévient-elle. Maisla présentatrice a bien du mal à garder son calme et finit par danser elle aussi : "Mettez du zouk !", dit-elle à Pascal Praud, avant de se lever pour les suivre. Une bonne humeur qui fait du bien à Christine Kelly qui a vécu des mois très difficiles. En effet, la présentatrice de Face à l'info a été victime de menaces de mort. Obligée de se déplacer avec des gardes du corps, elle était revenue sur son quotidien parfois difficile à vivre.
Christine Kelly menacée de mort
La journaliste avait alors décrit ce qu'elle ressentait : "Dès le début de Face à l'info, j'ai reçu des courriers anonymes à mon domicile et à mon travail, puis des e-mails sur mon adresse privée. [...] Avertissements, sommations, insultes, menaces circonstanciées : le champ lexical de la haine est plus étendu qu'on ne le pense", avait-elle confié dans son livre Libertés sans expression. "C'est évidemment une chose étrange que de me retrouver protégée parce que je suis une journaliste. C'est ainsi qu'un beau jour la vie devient absurde, insensée, impossible."