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Arts et People

“Pour ne pas que ma soeur entende…” : le témoignage terrifiant de Vincent Lagaf’ sur ses parents adoptifs

Ce dimanche 12 novembre, Vincent Lagaf’ était présent dans l’émission Un dimanche à la campagne, aux côtés de François-Xavier Demaison et de la chanteuse Aurélie Saada. L’ancien animateur de TF1 s’est alors confié sur son enfance, lui qui a appris enfant qu’il avait été adopté. Des nouveaux parents qui ont d’ailleurs changé son prénom et qui manquaient cruellement d’affection selon les dires de Vincent Lagaf’. "J'étais une catastrophe à l'école. (...) Les devoirs à la maison, c'était sous la menace. À chaque mauvaise note, je prenais une fessée. Et je ne parle pas d'une seule tape sur le c**... Le vendredi soir, mon père fermait la porte du salon pour ne pas que ma sœur entende et il me mettait une tape sur le cul par mauvaise note”.  Vincent Lagaf’ livre un témoignage bouleversant. “Mais j'avais 4 ou 5 mauvaises notes par jour. Donc parfois je me prenais des branlées à 15-20 claques sur le c**. Bam ! Et ça appuyait ça claquait..." raconte-t-il, qualifiant ces instants de violence de "mauvais moments à passer". "Il n'y avait pas d'échange avec mes parents. Je n'avais pas envie de leur donner satisfaction. (...) Dès qu'une chose n'allait pas, je me prenais une claque derrière la tête. Mais je n'ai jamais été un enfant martyrisé ou battu. Mais mon père ne s'expliquait que d'une manière 'virilement tactile'". Sa rencontre avec sa mère biologique Quelques années plus tard, une fois adulte, celui qui deviendra animateur à succès, avait décidé de retrouver sa mère biologique. "J’en avais besoin et ça a été un soulagement. J'avais besoin de savoir si j’étais un enfant issu du viol ou d’un inceste" avait-il ainsi confié dans Sept à Huit. Il rencontrera alors une seule fois sa maman. "J’ai pleuré ! Je suis arrivé devant le portail, elle sortait de sa maison, et je lui ai dit : 'Vous êtes Lucienne ?', elle m’a dit : 'Oui, je sais tout à fait qui vous êtes, je vais vous demander de partir monsieur'. (...) Là, tu te fais abandonner une deuxième fois" avait-il raconté sur France Inter. 

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