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Arts et People

Patrick Poivre d'Arvor : le tweet cinglant d'une de ses collègues en réponse à Jean-Pierre Pernaut

Cécile Delarue, une journaliste qui a travaillé à TF1, a souhaité répondre aux propos tenus par Jean-Pierre Pernaut lors de son passage dans les Grandes Gueules. Dans son tweet publié ce mardi 2 mars, elle a livré un témoignage glaçant. C'est une affaire qui a fait le tour de l'actualité. Le 18 février dernier, Le Parisien a révélé que l'ancien présentateur du 20 heures, Patrick Poivre d'Arvor, est accusé de viols. Celui que l'on surnomme PPDA aurait abusé de l'écrivaine Florence Porcel en 2004. Celle-ci était âgée de 21 ans au moment des faits. Ce mardi 2 mars, Jean-Pierre Pernaut était l'invité de l'émission des Grandes Gueules. Durant son interview, il a affirmé que les témoignages mentionnés par l'article du Parisien sont "mensongers" et a indiqué que le média ne "cite que des journalistes qui n'ont pas connu cette époque, ou pratiquement pas". Une intervention très remarquée par Cécile Delarue, qui a souhaité lui répondre dans un tweet : "Cher Jean-Pierre Pernaut, j'ai travaillé à la rédaction de TF1 à cette époque. J'ai toujours soigneusement évité l'ascenseur parce que j'avais peur d'y croiser Poivre. J'ai rasé les couloirs, fait demi-tour en l'apercevant, craint d'être appelée par ses secrétaires dans l'interphone, fuit les conf du 20h. Je ne suis pas la seule. Je suis loin d'être la seule", peut-on lire. Un récit glaçant et qui dément les propos tenus par l'ancien présentateur de TF1. Lors de cette même interview, Jean-Pierre Pernaut s'est livré à quelques confidences. Il a d'abord affirmé  avoir été "très choqué de ce qui est sorti dans la presse, c'est lamentable que ce genre d'affaire sorte dans la presse !" et a également indiqué : "Il y a deux plaignants, on verra après qui est la victime. Pour l'instant, on ne peut rien dire d'autre". Selon lui, le fait que cette histoire ait été médiatisée est "lamentable puisque l'on présente quelqu'un comme coupable et quelqu'un d'autre comme étant la victime". De plus, il n'a pas hésité à indiquer que les accusations disant qu'il ne "faut pas prendre l'ascenseur avec PPDA sont des mensonges. L'histoire de l'ascenseur est vraie mais c'était avec un homme politique", a-t-il confié. Il est ensuite revenu sur le fait quePatrick Poivre d'Arvor a une réputation de séducteur : "Oui, c'était quelqu'un qui aimait les femmes et qui n'a jamais caché son amour pour les femmes. Il était un dragueur, il aimait discuter avec elles", dit-il avant d'ajouter que "son bureau était au milieu de la rédaction, s'il s'était passé des choses répréhensibles, on l'aurait su". Il conclut ses propos en disant que c'est à "la justice de découvrir la vérité". La réponse de Patrick Poivre d'Arvor Suite aux accusations de Florence Porcel, Patrick Poivre d'Arvor avait pris la parole sur son compte Facebook. "J'ai découvert avec stupéfaction les accusations de madame Florence Porcel relayées avec complaisance par un quotidien. J'entretenais jusqu'alors avec elle des relations confraternelles et partageais son goût pour la littérature. Plusieurs fois je l'ai soutenue lorsqu'elle publiait des livres ou lors de ses démêlés avec des journalistes. Pour moi, la défense de la cause des femmes a toujours été un sujet de première importance", avait-il d'abord écrit avant d'affirmer : "Je vis donc très douloureusement ces attaques. Et ma famille comme mes proches les jugent insupportables. Je suis révolté par la manière dont on cherche à m'utiliser pour assurer la promotion d'un roman. La recherche de notoriété n'excuse pas tout". Il semblerait donc que Patrick Poivre d'Arvor puisse compter sur le soutien de Jean-Pierre Pernaut. Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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