news-details
Arts et People

Olivier Véran catégorique : cette fausse idée sur la vaccination qu'il met à mal

1/12 - Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé Le gouvernement fait tout pour relancer la campagne de vaccination contre le Covid-19 et les ministres multiplient les prises de paroles pour tenter de rassurer les Français encore récalcitrants. Alors que le gouvernement incite tous les Français à aller se faire vacciner, Olivier Véran, le ministre de la Santé, a rappelé les trois situations dans lesquelles le vaccin contre le coronavirus est contre-indiqué. Être enceinte n'en fait pas partie... Le gouvernement fait tout pour relancer la campagne de vaccination contre le Covid-19 et les ministres multiplient les prises de paroles pour tenter de rassurer les Français encore récalcitrants. Lors de la séance de questions au gouvernement qui s'est déroulée, ce mardi 20 juillet, à l'Assemblée nationale, Olivier Véran, le ministre de la Santé a rappelé qu'elles étaient les situation dans lesquelles il était contre-indiqué de se faire vacciner. Selon le ministre, être enceinte, même lors du premier trimestre, n'en fait pas partie. Les femmes enceintes peuvent se faire vacciner contre le Covid-19 dès le "premier trimestre" de grossesse, a assuré Olivier Véran. Si la vaccination est, pour le moment, déconseillée aux femmes en début de grossesse, c'est par manque de données, rappelle 20 minutes, mais, toujours selon le quotidien, aucun risque particulier n'a été observé chez celles ayant tout de même reçu une dose de vaccin pendant cette période. La grossesse ne constitue donc pas une contre-indication à la vaccination. Quelles sont les contre-indications à la vaccination contre le coronavirus ? Face aux députés, Olivier Véran a indiqué que trois contre-indications médicales à la vaccination avaient été établies après avis pris auprès de l'Agence nationale de sécurité du médicament, du comité sur la stratégie vaccinale d'Alain Fischer et du conseil scientifique. La première contre-indication est le syndrome PIMS (syndrome inflammatoire multi-systémique pédiatrique), il s'agit d'une complication "extrêmement rare" qui a touché certains enfants et adolescents à la suite d'une infection par le coronavirus. La deuxième est "les réactions type myocardite, péricardite et hépatite sévère ayant nécessité une hospitalisation et faisant suite à une première injection de vaccin d'ARNm", a souligné le ministre. Et enfin, la dernière concerne les personnes allergiques à l'un des composants du vaccin, le PEG2000 ou polyéthylène glycol. Une situation qui "doit concerner à peu près 10 cas dans notre pays", a souligné Olivier Véran. Et de conclure : "C'est donc sur cette base-là que des certificats médicaux en bonne et due forme peuvent être reconnus comme des contre-indications et non pas sur un simple avis médical ou pharmaceutique avec des antécédents allergiques." Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

You can share this post!