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Arts et People

Meurtre de Justine Vayrac : une amie du suspect balance sur son caractère explosif, “du mal à gérer quand on lui dit non”

1/6 - Meurtre de Justine Vayrac L'auteur présumé des faits a été décrit par une de ses amis comme ayant "du mal à gérer un non" Depuis que le suspect principal a reconnu le meurtre de Justine Vayrac, des membres de son entourage se confient sur le caractère du jeune homme de 21 ans, ayant visiblement du mal à gérer un "non". A compter de la disparition de la jeune femme de 20 ans, à la sortie d'une boîte de nuit de Brive-la-Gaillarde dimanche 23 octobre, de nombreux reportages ont permis d'en savoir plus sur lesuspect principal, désormais placé en détention provisoire et mis en examen pour meurtre, viol et séquestration. Son entourage se livre par ailleurs sur son caractère plutôt explosif. "Il peut se mettre en colère jusqu'à tabasser" Joueur de foot depuis de longues années, en témoigne d'ailleurs son emploi du temps au lendemain de la disparition de la jeune femme,le suspect a semble-t-il une tendance à l'impulsivitécomme l'a expliqué une de ses amies aux journalistes de Sept à huit. "C'est quelqu'un qui a du mal à gérer ses émotions quand on lui dit non. Quand il joue au foot lorsqu'il perd un match, il peut se mettre en colère jusqu'à tabasser des joueurs de l'équipe adverse." Ce n'est d'ailleurs pas la seule personne à décrire ce jeune agriculteur de 21 ans comme quelqu'un pouvant perdre son sang-froid. Selon un voisin interviewé par Le Parisien "Il s'est fait virer plusieurs fois pour s'être battu, avoir insulté des profs et cassé du matériel. Quand j'ai vu les voitures avec les sirènes foncer vers Eyzat, mardi, j'ai tout de suite fait le rapprochement avec la disparition. Je me suis dit : ça ne peut être que lui." L'homme avait par ailleurs été poursuivi en août 2020 pour avoir provoqué un incendie volontaire dans le hangar d'un de ses anciens patrons qui l'avait recadré, trouvant qu'il passait trop de temps sur son téléphone."Il aurait agi par vengeance après avoir très mal pris un "recadrage" de sa part", indiquent les journalistes du Parisien, comme le soulignent nos confrères de Purepeople. Pour ces faits, qu'il a toujours contestés, il aurait passé quelques mois en détention provisoire avant d'être placé sous surveillance électronique.

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