Léa Salamé et Nicolas Demorand décontenancés : Benoît Poelvoorde et Edouard Baer ingérables en studio
Ce mercredi 19 janvier, Léa Salamé recevait Benoît Poelvoorde et Edouard Baer dans la matinale de France Inter. Les comédiens n'ont pas manqué de mettre la pagaille en studio.
Malgré le réveil matinal, Benoît Poelvoorde et Edouard Baer ne manquent pas d'idées lorsqu'il faut faire des pitreries. Léa Salamé et Nicolas Demorand en ont fait les frais. L'acteur et son réalisateur étaient les invités de l'interview de 7h50 de France Inter ce mercredi 19 janvier, afin de promouvoir le film Adieu Paris, qui sortira dans les salles obscures le 26 janvier prochain. Si les deux acteurs sont réputés pour être des trublions, les journalistes ne s'attendaient certainement pas à ce qu'ils soient autant survoltés. Et ce, avant même que l'interview débute. "Il est 7h48 et c'est déjà la pagaille dans ce studio", annonçait de but en blanc Nicolas Demorant, avant de laisser la parole à Léa Salamé, en charge de cet entretien. "Ils ont déjà mis l'ambiance", confirmait la compagne de Raphaël Glucksmann, tandis que le brouhaha se faisait de plus en plus présent.
"Mais en aucun cas, il n'est nullement question de pagaille ! J'étais en train de dire que j'étais assez d'accord avec la chronique de Monsieur Seux", rectifiait Benoît Poelvoorde. Pourtant, les deux hommes ne se sont pas fait prier pour donner du fil à retordre à Léa Salamé. S'ils ont répondu aux questions de leur interlocutrice, ils ont tout de même multiplié les traits d'humour et éclats de rire. "Je n'ai pas le choix, je dois beaucoup d'argent à Edouard", rétorquait au second degré l'acteur Belge quant aux raisons qui l'ont motivées à accepter le rôle offert par Edouard Baer.
Nicolas Demorand désemparé
Un "freestyle" qui n'a pas échappé à l'humoriste Charline Vanhoenacker. "Déjà, Léa, tous les ljours, elle rend l'antenne en retard. Si, Léa ! Ça fait huit ans, on va en parler ! Et puis, les deux-là, on les branche ensemble, ils sont ingérables", a-t-elle débuté, avant de s'attaquer à l'animateur de la matinale : "Vous n'avez pas vu le regard paniqué de Nicolas qui, depuis cette nuit, se dit ' Mon Dieu, le journal de 8 heures va commencer à 9 heures, c'est la fin du monde'". Une confidence proche de la réalité. Les deux acteurs ne tenant plus en place et ne s'arrêtant pas de parler, en récupérant les rênes de l'émission, Nicolas Demorand a été contraint de hausser le ton, afin de pouvoir lancer le journal. "Allez maintenant évacuation du studio, s'il vous plaît. C'est le grand carnaval. Allez on y va !", a-t-il conclu dans un sourire, mettant fin à cette séquence déjantée et peu commune dans la matinale.
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