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Arts et People

"Je ne me tairais pas !" : taclé par Gilles Verdez, Fabrice di Vizio perd ses nerfs

Véhément lors d'un débat sur le racisme et les électeurs RN, Fabrice di Vizio s'est emporté contre Gilles Verdez, tandis que ce dernier lui a demandé de se taire au lieu de poursuivre sa réflexion. "Depuis un mois je trouvais que tu ne disais pas de conneries mais alors là..." Jeudi 20 janvier, le plateau de Touche pas à mon poste s'est une fois de plus transformé en théâtre pour un débat houleux entre les chroniqueurs. Invités à commenter une phrase prononcé par Matthieu Delormeau, qui a affirmé que "les électeurs du RN ne sont pas tous racistes", tous ont donné leur avis sur la question. Notamment Fabrice di Vizio, venu pour l'occasion, et qui a une fois de plus été taclé par... Gilles Verdez. En effet, ce dernier n'est jamais en reste pour s'attaquer à l'avocat, à qui il a demandé de se taire. "Tu es meilleur quand tu parles du virus Fabrice", lui a alors lancé sans détour Gilles Verdez, tandis que Fabrice di Vizio, véhément, a traité les chroniqueurs de Touche pas à mon poste de "bobos qui parlent de la vie". "Vous êtes des bobos, qui commentent la réalité politique, arrêtez cinq minutes", a-t-il ajouté, avant d'être repris par le chroniqueur de Cyril Hanouna. "Tu nous traites de bobos mais arrête, va élever tes chevaux et tes ânes et tais-toi", lui a-t-il lancé sans détour. De quoi agacer Fabrice di Vizio, qui a fini par s'emporter en assurant qu'il ne comptait pas se taire. Fabrice di Vizio est un "baratineur" pour les chroniqueurs Régulièrement invité sur le plateau de C8 pour commenter l'actualité politique, il n'est pas rare que Fabrice di Vizio soit pris à partie par les chroniqueurs de l'émission, rarement de son côté. Souvent, ceux-ci prennent même un malin plaisir à le contredire, et le remettre à sa place. "Il ne faut plus rien penser, il faut obéir, c'est Olivier Véran qui l'a dit. Il a dit 'la liberté, c'est d'obéir au risque d'être banni de la société' (...), ça s'appelle une dictature", avait-il lâché en novembre dernier alors que les chroniqueurs présents autour de la table ne semblaient pas d'accord avec cette prise de parole, l'accusant même de"baratiner". Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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