Famille défenestrée à Montreux : le scénario fou des sœurs jumelles, obnubilées par le vaccin anti-Covid
Le 24 avril, un mois après la mort de quatre des cinq membres de la famille défenestrée de Montreux, Sept à Huit est revenu sur ce mystère, et notamment sur les théories affolantes des sœurs jumelles Nasrine et Narjisse.
L'histoire de la famille défenestrée de Montreux a fait le tour des informations le 24 mars, jour de la tragédie. Un mois après, l'émission Sept à Huit sur TF1 a consacré un reportage pour tenter de dissiper le voile de mystère qui entoure toute cette affaire. Au cœur de ce drame, une famille française de cinq personnes habitant en Suisse, et qui ont tous sauté les uns après les autres du balcon de leur appartement du septième étage à Montreux, à 25 mètres du sol. Le père de famille, Eric David, ainsi que sa femme Nasrine et sa belle-sœur Narjisse - sœur jumelle de Nasrine - sont tous les trois morts. La fille du couple, âgée de 8 ans, est mort également. Le seul survivant est l'adolescent de la famille, âgé de 15 ans et hospitalisé puis plongé dans le coma après que sa chute ait été amortie par un palmier. Le reportage de Sept à Huit s'intéresse non seulement aux circonstances du drame, mais aussi à la relation fusionnelle qui liait les sœurs jumelles, Nasrine et Narjisse.
La famille de Montreux vivait recluse, les enfants scolarisés à la maison et Narjisse - dont le visage a récemment été dévoilé - étant la seule qui entretenait encore une vie sociale avant le drame. Il lui arrivait cependant de sortir de temps en temps avec sa sœur pour aller prendre un café et discuter de certains sujets révélateurs sur l'état d'esprit de toute la famille. Contacté par les journalistes de Sept à Huit, un serveur qui s'occupait souvent des sœurs jumelles explique que ces derniers temps, c'est surtout l'épidémie de Covid-19 et le vaccin qui a été mis en place qui occupaient leurs conversations. "Elles partaient du principe que tous les vaccinés, à partir de deux ans, normalement, ils allaient mourir. Elles voyaient plus ou moins la fin du monde comme des... je ne sais pas. Famines, guerre civile..."
La famille de Montreux était prête pour la fin du monde
Un scénario catastrophe digne des pires films dystopiques, ou tout simplement une mentalité de survivaliste qui a poussé la famille à agir en conséquence. Le serveur poursuit en expliquant que, selon les sœurs jumelles, "il y allait commencer à y avoir du pillage, des gens qui commencent à voler, à devenir fous, à s'attaquer les uns les autres...". Persuadées que la société allait s'effondrer, Nasrine et Najrisse ont plusieurs fois exprimé leur besoin d'avoir "un plan B", et tout ce qui va avec : "des médicaments en réserve, avoir de l'eau potable, et puis un plan de secours avec une communauté. Dans ce cas-là, il faudrait quitter les villes pour aller dans la forêt". Cela explique les témoignages selon lesquels l'appartement du septième étage était devenu un véritable bunker, rempli de provisions. Reste à savoir cependant pourquoi une famille prête pour la fin du monde a mis fin à ses jours aussi brusquement...
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