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Une histoire folle qui finit mal ! June Hopkins, cette mère en plein délire qui a brisé le destin de son fils

1/6 - Une histoire folle qui finit mal ! June Hopkins, cette mère en plein délire qui a brisé le destin de son fils Les histoires d'héritage peuvent parfois aller très loin. La cour d'assises de Paris a condamné une mère et son fils américains à la réclusion criminelle, le 13 mai 2022, pour tentatives d'assassinat à répétition à l'encontre du père de famille français. Les guerres d'héritage peuvent parfois aller très loin. Pour June Hopkins, 60 ans, et son fils de 30 ans Brendan Walsh, l'histoire se termine derrière les barreaux. Ils ont été reconnus coupable de tentative d'assassinat à répétition à l'encontre du père de famille de nationalité française, rapport Le Figaro. La mère américaine a écopé de 16 ans de prison et son fils de 12 ans de réclusion criminelle. June Hopkins n'a plus le droit de mettre les pieds en France, quant à Brendan Walsh, il est interdit de région parisienne jusqu'en 2037. Retour en 2010. June Hopkins et son fils renouent avec le père de famille, Grégoire L. après quinze années de silence radio. June Hopkins aimerait que son fils prenne le nom de son père. Grégoire L. accepte et entame des démarches. Mais en 2015, le père de famille et sa sœur sont agressés devant leur domicile par les deux Américains qui tentent à l'époque de les étrangler. Des accessoires d'espionnage retrouvés dans la cave  Lors du procès, l'avocat général Olivier Bray a révélé que June Hopkins et son fils vivaient depuis trois ans "en vase clos" à Paris. Animés d'une "haine farouche, un désir absolu de vengeance", selon lui, ils consacraient l'intégralité de leur temps à espionner et harceler Grégoire L. Des lunettes caméra, des gilets de camouflage, des masques, une scie, une machette et une hache retrouvés dans leur cave par les enquêteurs. Pour se défendre, Brendan Walsh a estimé avoir été "emporté dans le délire paranoïaque" de sa mère, selon son avocate, Julie Février. "Je n'ai jamais eu l'intention de faire du mal à personne", a déclaré de son côté June Hopkins dans ses derniers mots à la cour. Grégoire L. a dit espérer que son fils se soigne. "Est-ce que vous seriez prêt à reprendre une relation avec lui ?", lui a demandé le président de la cour d'assises. Sa réponse a été sans appel : "Non". Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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