Ses injections dans les lèvres tournent mal et la laissent avec la tête d'un petit animal
Plus de peur que de mal pour Josie Aplin, qui s'est retrouvée défigurée après une injection pourtant a priori sans danger.
Comme beaucoup de mésaventures, celle de Josie Aplin a été documentée et postée sur les réseaux sociaux pour que tous ses quelques centaines d'abonnés de TikTok puissent suivre ce qui lui est arrivé. Tout a commencé par un acte assez banal pour cette mannequin, qui a décidé de prendre rendez-vous afin de faire une injection de botox dans ses lèvres pour les rendre plus pulpeuses. Seulement ce qui aurait dû être une simple opération sans risque à visée esthétique s'est rapidement transformé en cauchemar pour la jeune star des réseaux sociaux.
En effet après l'injection, cette jeune étudiante australienne âgée de 20 ans a rapidement dû faire face à un effet secondaire plutôt désagréable puisque sa lèvre supérieure s'est mise à gonfler jusqu'à doubler voire tripler de volume. Plutôt que d'être catastrophée, Josie Aplin a décidé d'en rire et de poster plusieurs photos d'elle, la lèvre très gonflée et se comparant à un chipmunk (oui, comme dans Alvin et les chipmunks), soit un petit écureuil d'Amérique du nord. Toujours avec humour, elle a accompagné ses photos de quelques petites légendes : "POV t'as pris rendez-vous pour une injection aux lèvres" ou encore "Trop sexy avec ma nouvelle injection", le tout suivi par une photo d'elle dans une ambulance et le hashtag #Chipmunk.
Une réaction inquiétante mais normale
Suite aux nombreuses remarques et questions de ses abonnés, Josie Aplin a tout de même précisé qu'elle allait bien mieux après un traitement aux anti-inflammatoires. Malgré un peu moins de 600 abonnés sur son compte TikTok, sa vidéo a été vue plus de 80 000 fois par les internautes, dont une bonne partie s'était donc inquiétée de son état de santé. Dans les commentaires, elle a également expliqué : "C'est normal que ça gonfle et que ce soit douloureux, d'habitude c'est juste conseillé de prendre des médicaments anti-inflammatoires". Une mésaventure qui se termine bien, mais qui souligne la multiplication d'opérations de chirurgie esthétique faites de plus en plus souvent par du personnel médical non qualifié ou dans des endroits qui ne respectent pas les règles d'hygiènes imposées.