La secrétaire médicale volubile et très sympathique défigurait les femmes avec des injections de son cru

1/6 - Police C'est malheureusement une affaire parmi tant d'autres. Alors que des stars de télé-réalité sont victimes de complications après avoir eu recours à des injections, voilà qu'une secrétaire médicale s'est improvisée chirurgien esthétique. En effet, Jennifer, 36 ans, a multiplié les injections d'acide hyaluronique et de botox à plusieurs clientes, empochant 186.000 euros au total. Une secrétaire médicale a été accusée d'avoir défigurait plusieurs clientes après avoir réalisé des injections. C'est malheureusement une affaire parmi tant d'autres. Alors que des stars de télé-réalité sont victimes de complications après avoir eu recours à des injections, voilà qu'une secrétaire médicale s'est improvisée chirurgien esthétique. En effet, Jennifer, 36 ans, a multiplié les injectionsd'acide hyaluronique et de botox à plusieurs clientes, empochant 186.000 euros au total. Mais voilà que cette secrétaire médicale possédait un simple diplôme de CAP coiffure. Le 5 octobre elle a été déférée pour "une audience ultérieure qui lui a été remise pour être jugée des chefs d'exercice illégal de la médecine, détention, transport, acquisition et emploi illicite de médicaments par ordonnance falsifiée au préjudice de quatre médecins". Une jeune femme va ainsi rencontrer la secrétaire médicale qui va la piquer  pendant six mois pour " faire disparaître les rides avec de la toxine botulique, soit pour gonfler des parties de son corps avec de l'acide hyaluronique". Mais ces interventions doivent êtrepratiquées par des spécialistes, notamment des médecins. Après de nombreuses piqûres, la jeune cliente va être victime d'œdèmes et d'hématomes. Son compte en banque, bien rempli Devant la gravité des faits, la cliente va déposer plainte. La brigade de répression de la délinquance contre personne se sait de l'enquête. Les enquêteurs découvrent ainsi qu'elle n'a qu'un métier, secrétaire médicale, mais que son compte en banque est bien rempli. D'après les informations du Parisien, "les policiers auraient découvert le dépôt de plus de 300 chèques, près de 150 virements et une bonne trentaine de versements d'espèces. Bref, Jennifer recevait énormément d'argent". Selon l'enquête, elle pratiquait ces injections au sein de centres esthétiques après leur fermeture. "Depuis peu de temps, elle les accueille dans un appartement qu'elle loue rien que pour cette activité avenue Victor-Hugo à Paris (XVIe)."