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Prince Andrew accusé d'agressions sexuelles : le fils de la Reine commence à être inquiet...

Visé par une plainte pour agression sexuelle, le prince Andrew met toutes les chances de son côté pour éviter un procès, mais aussi, d'être condamné. Toutefois, le fils d'Elizabeth II ne serait désormais plus si sûr de remporter cette bataille. Le prince Andrew n'est désormais plus si sûr de lui. Accusé de viol et d'agression sexuelle, le fils d'Elizabeth II fait Outre-Atlantique l'objet d'une plainte déposée au tribunal de New York par Virginia Giuffre, qui assure avoir été "prêtée" au duc d'York par Jeffrey Epstein et Ghislaine Maxwell lorsqu'elle travaillait en tant que "masseuse" au sein du réseau de prostitution du milliardaire. Par le passé, celle-ci avait témoigné de nombreuses fois à l'encontre du prince Andrew, assurant avoir eu des rapports sexuels avec lui à plusieurs reprises lorsqu'elle était mineure, ce que ce dernier a toujours nié. Et s'il pensait avoir toutes les chances de faire annuler cette plainte, les récentes décisions de la justice américaine ne sont pas sans l'inquiéter. En effet, le 27 août dernier, le duc d'York a officiellement reçu sa convocation au tribunal de New York avec l'obligation d'y répondre dans les 21 jours. Un signe qui ne présage rien de bon pour lui, désormais certain que la plainte ne serait pas rejetée par le tribunal et qu'un procès pourrait bel et bien avoir lieu. "Il y a eu un changement d'humeur dramatique et il a été confronté à la réalité que cela pourrait non seulement durer plusieurs mois, voire des années, mais aussi lui coûter potentiellement des millions de livres", rapporte ainsi une source, relayée par The Mirror. Ce document qui pourrait aider le prince Andrew Outre le fait que cette convocation rende cette affaire bien réelle, le prince Andrew a également été confronté à un autre coup dur : le rejet du juge en charge du dossier de desceller un document qui pourrait invalider la plainte de Virginia Giuffre. Remettant ainsi en question la défense du duc d'York. En effet, avec l'aide de ses avocats, celui-ci comptait utiliser un accord signé en 2009 par l'ex-esclave sexuelle de Jeffrey Epstein, qui s'engageait alors à ne lancer aucune poursuite contre les personnes qu'elle accuse d'être des complices de l'homme d'affaires. Mais alors que le document ne pourra pas être utilisé, le fils d'Elizabeth II va devoir compter sur les talents de son avocat Andrew B. Brettler, ténor du barreau spécialisé dans les crimes sexuels, pour le sortir d'affaire et lui éviter la prison. Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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