"Plus le temps passe..." : le terrible constat de Nathalie Marquay, 3 mois après la mort de Jean-Pierre Pernaut
Ce mercredi 22 juin, plus de trois mois après la mort de Jean-Pierre Pernaut, Nathalie Marquay se confie longuement sur son deuil difficile.
"J'ai des hauts et des bas". C'est avec beaucoup de sincérité et d'émotion que Nathalie Marquay s'est longuement exprimée sur son deuil douloureux. Le 2 mars dernier, son cher et tendre, Jean-Pierre Pernaut décédait des conséquences de son cancer du poumon. Depuis, le temps s'est arrêté pour Nathalie Marquay et leurs enfants. Impossible pour eux de faire le deuil de cet être si cher à leur cœur. "C'était tellement un homme extraordinaire, généreux, prévenant. Il était tout le temps à l'écoute, pour moi et les enfants. Pour sa première famille aussi. Il a toujours été présent s'il y avait quoi que ce soit avec Olivier ou Julia", raconte Miss France 1987 dans les colonnes du Parisience mercredi 22 juin.
Alors forcément, il leur est difficile de ne pas penser sans cesse à Jean-Pierre Pernaut. En particulier pour sa veuve qui, après 20 ans de vie commune doit apprendre à faire sans l'homme qu'elle a tant aimé. "C'est toujours compliqué", confesse la principale intéressée lorsque notre consoeur lui demande comment elle va. Et de surenchérir : "On dit avec le temps, ça passe, mais plus le temps passe, pire c'est. Il y a un grand manque. Il est irremplaçable." D'autant que ces dernières semaines, Nathalie Marquay a donc dû traverser seule des dates clés comme son anniversaireou celui de son homme. Des moments habituellement festifs lors desquels l'absence de l'homme du 13 Heures de TF1 s'est particulièrement fait ressentir, rappelant à ses proches leurs instants de bonheur perdus.
Nathalie Marquay : "C'est difficile parce que, tous les jours, on m'en parle"
Pire encore, les fans de Jean-Pierre Pernaut ne parviennent à masquer leur émotion lorsqu'ils lui font face. De quoi remuer le couteau dans sa plaie. "C'est difficile parce que,tous les jours, on m'en parle. Dans la rue, on m'embrasse. Les gens ont tellement de peine encore", déplore la maman de Lou et Tom Pernaut. A tel point que "beaucoup pleurent dans [ses] bras". "Je fais beaucoup de salons du livre [pour la promotion de son livre Moi, j'y crois (Ed. Trédaniel), ndlr] et c'est parfois moi qui dois les consoler. Heureusement, Jean-Pierre me donne plein de signes", nuance-t-elle se raccrochant à ces signes pour surmonter cette épreuve douloureuse à laquelle elle doit faire face. Nul doute tout de même que ses enfants lui apportent un grand soutien.