Paul El Kharrat inquiétant : quand le champion des 12 coups de midi se compare aux tueurs en série
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Paul El Kharrat Lors de l'émission Le Grand Quiz diffusée ce vendredi 8 juillet, le champion des 12 coups de midi, Paul El Kharrat, a fait une déclaration très étrange : il a comparé un de ses traits de caractère à ceux des tueurs en série.
Lors de l'émission Le Grand Quiz diffusée ce vendredi 8 juillet, le champion des 12 coups de midi, Paul El Kharrat, a fait une déclaration très étrange : il a comparé un de ses traits de caractère à ceux des tueurs en série.
Moment plutôt gênant sur le plateau de TF1. Ce vendredi 8 juillet, alors qu'il représentait les 18-34 ans en compagnie de Camille Cerf lors du jeu Le Grand Quiz, l'ancien champion des 12 coups de midi a fait une déclaration des plus surprenantes. Atteint du syndrôme d'Asperger, ce dernier est un grand habitué des jeux télévisés. Avoir été mis sous le feu des projecteurs lui a notamment permis de briser la glace sur l'autisme en enchaînant les prises de parole pour dédiaboliser cette maladie.
"À chaque fois, j'ai parlé de mon parcours, du jeu, de ma vie, de mes obstacles. Je suis très content qu'on vienne m'écouter, me poser des questions, et surtout être attentifs à mes propos", avait-il notamment déclaré. Depuis, Paul El Kharrat s'est lancé dans de nombreux projets, comme l'écriture de deux livres, dont "Crimes et mystères à Paris". Et c'est en évoquant ce roman qu'il a créé un moment de malaise sur le plateau du Grand Quiz.
Paul El Kharrat : "Je n'ai quand même pas envie de tuer des gens"
"J'ai lu dans une interview quand même que vous disiez avoir beaucoup de points communs avec les tueurs en série", a lancé la présentatrice de l'émission, Hélène Mannarino, espérant que son invité la contredise. Mais c'est tout le contraire qui s'est passé : "Oui, non mais c'est quand je suis énervé. C'est tout. Après, quand je suis très calme et que ça va bien, j'ai pas envie de tuer les gens", a-t-il asséné, devant les regards surpris de l'assemblée devant lui. Une petite blague on ne peut plus déstabilisante.