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Arts et People

Miss France 2023 : des “soirées cachées” lors du voyage préparatoire ? La réponse cinglante de leur chaperonne

Le 21 novembre dernier, les 30 Miss régionales s'envolaient en Guadeloupe pour leur voyage préparatoire. Mais se retrouvent-elles en cachette après leur couvre-feu ? Réponse. La première étape du reste de leur vie. Alors que les Français découvriront réellement les 30 candidates à Miss France le 17 décembre prochain, l'aventure a d'ores et déjà débuté pour les jeunes femmes. Le 21 novembre dernier, elles s'envolaient donc en direction de la Guadeloupe pour le traditionnel voyage préparatoire. Au programme : test de culture général, cours d'éloquence, de catwalk ou même de bonnes manières. C'est également sous le magnifique soleil de l'île caribéenne que les concurrentes enchaînent les shootings et vidéos qui seront diffusées lors de la cérémonie retransmise sur TF1. Le tout, sous le regard attentif de ceux qui les accompagnent, à l'instar de Sylvie Tellier, Alexia Laroche-Joubertet Cindy Fabre. Puisque de leur comportement et de leur apprentissage dépendront leur place - ou non - au classement des 15 présélectionnées. Alors, forcément, le comité Miss France impose aux prétendantes à la couronne de se coucher tôt. C'est à 22 heures qu'a lieu l'extinction des feux. Pour autant, les jeunes femmes le respectent-elles vraiment ? A notre grande déception, il semblerait que oui. "Franchement, elles ne font pas de soirée cachée", rétorque en effet Cécile Bados, leur chaperonne dans les colonnes du Parisience dimanche 27 novembre. Et de préciser : "L'enjeu est trop important pour prendre le risque de faire une sortie de route." Il faut dire que le réveil sonne (vraiment très très) tôt. Les candidates se lèvent à 5 heures du matin et commencent à se faire maquiller dès 5h30. Le rythme est loin d'être de tout repos. Toutefois, elles s'en sortent à merveilles. Des candidates "disciplinées et à l'écoute" quand Diane Leyre "était déjà volubile" "Cette année, elles sont très disciplinées, discrètes, mais posent énormément de questions", note Jérémy Côme qui leur enseigne les bonnes manières. Même constat du côté du professeur de catwalk. "Elles m'ont surpris car elles sont très à l'écoute et elles ont intégré tout de suite les techniques de pose pour les défilés et les photos", s'enthousiasme Arnaud Sol Dourdin. Et de confier : "Globalement, elles sont toutes un peu bonnes élèves cette année, alors que l'an passé, Diane Leyre était déjà volubile, Midi-Pyrénées était le rayon de soleil..." Difficile donc pour l'instant de repérer quelles seront les favorites. "Ce n'est que le début. Souvent, les filles se révèlent lors de la préparation du prime-time", insiste celui qui est également chargé de les maquiller, avant de nuancer : "Il y en a une par exemple - je ne citerai pas - qui s'est affirmée en défilant. Elle est devenue une show girl, alors que personne ne l'avait remarquée pour l'instant. Un peu comme Clémence Botino et son hold-up en 2019. On ne la voyait pas avant." Une chose est certaine : cette année, les candidates à la couronne de Miss France 2023 devraient sortir du lot du fait de leurs poignantes histoires personnelles. "C'est vraiment l'année des guerrières. C'est incroyable d'avoir autant d'histoires personnelles si fortes !", estime le producteur du programme, Frédéric Gilbert. Violences conjugales, maladies, disparition d'un frère quelques mois avant le concours, harcèlement scolaire... Les 30 Miss régionales ont traversé de nombreuses épreuves. Néanmoins, le producteur se défend de sacres sur ce passif. "Comme elles ne sont pas là à la suite d'un casting mais parce qu'elles ont été élues, ce n'est pas une volonté de la production. C'est juste un portrait de la société de 2022", assure-t-il.

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