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Arts et People

Michelle Martin : à quoi ressemble la nouvelle vie de l'ex-femme de Marc Dutroux ?

Totalement libre de ses mouvements depuis ce vendredi 26 août 2022, Michelle Martin, complice et ex-femme de Marc Dutroux, était sous libération conditionelle depuis 2012. Sous liberté conditionnelle depuis 2012, Michelle Martin est désormais totalement libre de ses mouvements depuis ce vendredi 26 août 2022. Elle avait pourtant été condamnée à 30 ans de prison en 2004 pour son rôle de complice auprès de son mari Marc Dutroux, coupable des séquestrations de 6 jeunes filles dont 4 d'entre elles ont perdu la vie. Pour l'occasion, Closer vous propose de découvrir à quoi ressemble la vie de Michelle Martin depuis sa libération conditionnelle en 2012 après 16 ans d'incarcération. A sa libération conditionnelle, Michelle Martin avait obtenu le droit de rejoindre le monastère des sœurs clarisses de Malonne, à Namur. Quelques mois plus tôt, elle avait tenté de rejoindre un couvent en France, dans le Doubs, mais avait finalement dû renoncer. Dans ce couvent belge, l'ex-femme de Marc Dutroux travaillait 20 heures par semaine pour le bien de la congrégation. Tout contact extérieur lui était alors interdit. En 2015, les sœurs déménagent et ne souhaitent pas être suivies par Michelle Martin. Cette dernière s'installe alors à Floreffe, à côté de Malonne, dans la propriété d'un ancien juge qui affirmait croire en la réinsertion. Depuis, la femme la plus détestée de Belgique se fait très discrète. Michelle Martin : est-elle toujours en contact avec ses enfants ? Michelle Martin et Marc Dutroux ont eu trois enfants ensemble. En 2010, alors que sa mère n'était pas encore sortie de prison, Frédéric, l'aîné, s'était confié à un média belge. Il avait notamment déclaré ne plus avoir de contact avec sa mère : "Je ne l'ai plus vue depuis quelques années. J'ai encore quelques contacts mais nous avons parfois du mal à nous comprendre. Ils restent toutefois tous les deux mes parents, même si je n'ai pas grand-chose en commun avec eux". Il avait également évoqué la possibilité de leurs libérations : "Si j'espère les revoir libres un jour ? Pour eux, peut-être, pas pour moi. Je m'en fiche. Passé un certain âge, on devient inoffensif, quand bien même on est malade. S'ils peuvent donc reformuler un semblant de vie normale pour vivre leur vieillesse ailleurs qu'en prison, je leur souhaite mais je ne m'attends pas à une vie de famille avec eux. J'essaie de faire ma vie, de fonder une famille et un foyer heureux. Je n'ai pas à assumer leur traumatisme à eux. Ce n'est pas le rôle des enfants".

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