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Arts et People

Marlène Schiappa victime d'une fausse couche deux semaines avant l'enregistrement d'Une ambition intime

Invitée d'Une ambition intime dimanche 7 novembre, Marlène Schiappa s'est confiée comme rarement à Karine Le Marchand, révélant avoir été victime d'une fausse couche quelques semaines avant le tournage de l'émission de M6. Elle brise un tabou. Membre du gouvernement depuis 2017, Marlène Schiappa porte la "grande cause du quinquennat" d'Emmanuel Macron, l'égalité femmes-hommes, lorsqu'elle devient secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations. Critiquée, moquée, elle a notamment fait depuis sa nomination l'objet de remarques sexistes, qui rapportaient davantage son apparence physique que ses prises de position, elle qui a toujours assumé être une maman de deux petites filles tout en étant ministre. Un rôle pas toujours évident, elle qui déplore le manque d'empathie dans le milieu de la politique, qui lui a longtemps fait garder pour elle un drame qu'elle a dû récemment traverser : une fausse couche. Dans Une ambition intime, diffusée dimanche 7 novembre, Karine Le Marchand précise ainsi que le tournage de l'émission avec Marlène Schiappa, dont le dernier livre a été un échec cuisant, a été retardé de deux semaines à cause de cette fausse couche difficile. "Ce qu'il s'est passé, c'est que j'ai eu un début de grossesse, qui ne s'est pas bien passé et qui s'est terminé par une fausse couche", a ainsi confié la secrétaire d'État, qui révèle avoir "fini par le dire parce [qu'elle se sentait] vraiment top mal", et n'avait "pas le coeur à mettre [son] réveil à 5h30 pour aller faire des matinales pour défendre l'action du gouvernement". Marlène Schiappa soutenue par Jean Castex après sa fausse couche Réalisant être une femme, une maman, et qui plus est, "une humaine", Marlène Schiappa a fini par se confier sur cette fausse couche, et la rapporter à Jean Castex. "Je l'ai dit au Premier ministre et j'ai été surprise, agréablement, parce que j'ai été hyper soutenue", admet-t-elle à Karine Le Marchand, expliquant que à partir de là, son temps de travail a été aménagé, et qu'on lui a dit de prendre autant de temps qu'elle le souhaitait pour se remettre. "On ose pas, on a un peu honte, et je ne sais pas pourquoi en fait, parce qu'il n'y a pas de honte", a-t-elle ajouté à propos de ce drame qui touche de nombreuses femmes, mais qui reste encore un tabou dont il est difficile de parler pour certaines. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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