Marcela Iacub : ses confidences sur son été passé dans un hôpital psychiatrique
Invitée des Grosses Têtes lundi 23 août pour la rentrée de l'émission sur RTL, Marcela Iacub a raconté ses vacances à Laurent Ruquier. Et la destination était pour le moins étonnante.
C'est la rentrée des Grosses Têtes. Lundi 23 août, Laurent Ruquier est revenu en fanfare sur les ondes de RTL avec sa joyeuse bande pour évoquer avec humour des sujets d'actualité. L'occasion aussi pour chacun de raconter ses vacances, comme Marcela Iacub qui a révélé l'étrange destination où elle a passé son été : dans un hôpital psychiatrique. L'écrivaine a en effet confié avoir été plusieurs semaines en Suisse dans un institut, et ce sur les conseils de sa psychiatre. "C'est thérapeutique", a-t-elle précisé, tandis que ses comparses plaisantaient de sa confidence.
Tandis que l'une des Grosses têtes lui a fait remarquer qu'elle avait "les moyens" pour se payer un petit séjour en Suisse dans un tel établissement, Marcela Iacub a lâché sans détour que c'est "la sécu qui a payé", précisant que c'est surtout "un endroit où on te laisse dormir". Une révélation étonnante de la part de l'essayiste qui a rejoint la bande de Laurent Ruquier en 2014, et qui n'a pas manqué de plaisanter à propos de ces vacances loin des plages ensoleillées que l'on s'imagine à cette période de l'année.
Qui est Marcela Iacub ?
Née en Argentine en 1964, Marcela Iacub est une chercheuse, juriste et essayiste connue notamment pour sa défense d'idées à contre-courant du féminisme dans ses ouvrages, de ses théories sur l'émancipation des femmes et l'analyse de l'impact sur l'opinion publique. Elle est découverte par le grand public en 2013 lorsqu'elle publie Belle et Bête, inspiré de sa relation avec Dominique Strauss-Khan, entretenue de janvier à août 2012. Si elle ne nomme pas directement l'homme politique accusé d'agression sexuelle en 2011 dans son livre, où elle le dépeint comme un "être double, mi-homme mi-cochon", elle en a dévoilé son identité dans une interview, suscitant notamment de vives polémiques pour avoir publié dans Libération auparavant des articles qui lui étaient favorables sans avoir mentionné leur relation. Dominique Strauss-Khan lui, avait qualifié son ouvrage d'"abomination", et exprimé son "dégoût" devant ce qu'il estimait être "le comportement d'une femme qui séduit pour écrire un livre, se prévalant de sentiments amoureux pour les exploiter financièrement".
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