news-details
Arts et People

“Je ne savais pas que c'était le terrain de Zidane” : La réponse d'Éric Zemmour après son éviction d'un complexe sportif 

1/12 - Eric Zemmour En déplacement dans le département des Bouches-du-Rhône ce samedi 2 avril, Eric Zemmour a été viré par un complexe de futsal par le frère de Zinédine Zidane, propriétaire des lieux. Le candidat à l'élection présidentielle est revenu sur cet épisode lors d'une interview sur LCI. En déplacement dans le département des Bouches-du-Rhône ce samedi 2 avril, Eric Zemmour a été viré par un complexe de futsal par le frère de Zinédine Zidane, propriétaire des lieux. Le candidat à l'élection présidentielle est revenu sur cet épisode lors d'une interview sur LCI.  Depuis le début de sa campagne, l'ancien polémiste enchaîne les polémiques. Ce samedi 2 avril, Eric Zemmour s'est rendu dans les Bouches-du-Rhône pour aller à la rencontre des habitants du département. Et le moins que l'on puisse dire est qu'il a quelque peu été chahuté. Après un déplacement houleux dans un marché aux puces illégal de Marseille, le candidat du parti Reconquête a voulu faire une démonstration de football sur le terrain du club de futsal d'Aix-en-Provence. Et ce qui est arrivé était pour le moins inattendu. Alors que le gérant de la salle de ce centre sportif appartenant à Zinédine Zidane n'aurait pas été informé que la réservation avait un but politique, une scène incroyable s'est produite : le frère du champion du monde français, Nourredine Zidane, est intervenu en personne pour demander au candidat à l'élection présidentielle de quitter le terrain sur le champ. Des images qui ont fait le tour de la France. Eric Zemmour : "Je ne savais pas que c'était le terrain de Zidane" Au lendemain de cette nouvelle frasque de campagne arrivée seulement quelques jours après qu'il ait laissé ses soutiens scander "Macron assassin", Eric Zemmour s'est rendu sur le plateau de LCI pour revenir sur l'incident avec Nourredine Zidane. Et le candidat à l'élection présidentielle a donné une version des faits totalement alternative. La voici : "Mes militants avaient loué ce terrain. Je ne savais pas que c'était le terrain de Zidane, un immense joueur. Évidemment qu'on n'allait pas donner mon nom car je suis harcelé par les antifas". Mais son explication ne s'est pas arrêtée là. "Quand ils ont appris que j'étais là, ils ont menacé de faire venir ceux des quartiers nord pour me déloger, c'est pour ça que mon service d'ordre m'a dit de partir". Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

You can share this post!