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Arts et People

"Je lui dit qu'il est chiant" : quand Marion Rousse recadre Julian Alaphilippe, "cinglé" 

Pour nos confrères d'Ouest France, Marion Rousse s'est laissée aller à quelques confidences au sujet de son quotidien avec Julian Alaphilippe. Et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il n'est pas de tout repos. Pour Marion Rousse, les journées sont en ce moment à rallonge.Commentatrice pour France Télévisionsdu Tour de France 2022, elle va démarrer une nouvelle mission en étant directrice du premier Tour de France féminin. Une chose est sûre,la compagne de Julian Alaphilippe est une mordue de cyclisme, elle qui le pratique encore avec son chéri. Mais la sportive admet aisément que son niveau sportif a bien baissé comparé à ses grandes années de cyclisme intensif. Pour Ouest France, elle confie faire quelques sorties à vélo avec Julian Alaphilippe. Mais on ne peut pas dire que ce soit de tout repos. En effet, Marion Rousse déclare : "C'est lui qui insiste toujours pour que je roule avec lui. À chaque fois je me laisse berner et il roule comme cinglé. Je suis à fond, je lui dis qu'il est chiant et on recommence la semaine d'après", dévoile-t-elle en riant. La passionnée de cyclisme reproche alors à son compagnon son tempérament un peu trop intrépide sur le vélo mais elle avoue également que ce milieu est une vraie passion pour elle : "Il ne faut pas croire que je me suis mise avec un cycliste parce que je voulais rester dans le monde.  Ni que j'ai fait de la télé parce que je voulais rester dans ce milieu. J'ai un tempérament de fonceuse et je me suis laissée vivre", tient-elle à préciser. Marion Rousse à la tête du Tour de France féminin Alors avec cette nouvelle casquette de directrice du Tour de France féminin, Marion Rousse a du pain sur la planche. Elle est d'ailleurs revenue sur le parcours de la Grande Boucle féminine : "S'il durait trois semaines, on tuerait les autres courses. En plus, l'encadrement des équipes est bien moindre chez les filles. Ils ne sont pas trente par équipes comme chez les hommes environ, mais plutôt dix dans le cyclisme féminin. Enfin, soyons francs, trois semaines, c'est un budget supplémentaire pour nous, avec le risque de mettre la clé sous la porte. À moins de faire une course au rabais. Mais quand on a le label Tour de France, on se doit de créer un vrai Tour de France, donc les mêmes infrastructures avant et après la course, la même sécurité et le même niveau d'exigences. Il y aura une caravane, une présentation des équipes, des villages départ, des animations. La même chose". Un vaste programme.

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