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Arts et People

Gilles Bouleau : cette belle bourde sur le port du masque en plein JT

Alors qu'il voulait parler du "port du masque", Gilles Bouleau a fait un lapsus en plein direct dans le JT de 20H de TF1 qui n'est pas passé inaperçu, mardi 9 novembre. Un petit lapsus qui fait beaucoup parler. Mardi 9 novembre, Anne-Claire Coudray avait cédé sa place au JT de 20H de TF1 à son confrère Gilles Bouleau pour la présentation du journal télévisé, qui a suivi l'allocution très attendue d'Emmanuel Macron. Après un point sur la crise sanitaire et les réformes, le tout avec une voix rauque très remarquée causée par une extinction de voix, le président de la République a rendu l'antenne aux journalistes. Mais visiblement perdu dans ses pensées, Gilles Bouleau lui, s'est fendu d'un lapsus qui n'est vraiment pas passé inaperçu : alors qu'il voulait parler du "port du masque" obligatoire, le journaliste a parlé du "port du voile". "Les mesures annoncées ce soir concernent notamment le renforcement des contrôles de pass sanitaire et le port du voile, le port du masque pardonnez-moi, et elles vont avoir des conséquences pour les restaurateurs", a ainsi lancé Gilles Bouleau en plein direct. De quoi susciter de nombreuses réactions, notamment sur Twitter où il est devenu pendant quelques minutes "Gilles Boulette", parlant même de "gêne totale". "Le lapsus de Gilles Bouleau qui dit le "port du voile" au lieu du port du masque dites moi que je suis pas le seul à l'avoir vécu en direct", a ainsi tweeté un internaute, tandis qu'un autre prédit qu'il "a gagné sa place dans les bêtisiers pour les 30 prochaines années". Gilles Bouleau n'est pas étranger aux erreurs au JT de 20H Une belle bourde "à jamais dans l'histoire" pour le journaliste, qui n'est pas étranger aux petites erreurs, égrenées parfois dans ses JT, et qui ne sont pas toujours corrigées. Comme en octobre dernier, face à Jean Castex, lorsqu'il a évoqué le prix des factures d'électricité, qui lorsque Emmanuel Macron est arrivé au pouvoir, "pour un foyer français moyen, c'était 900 euros par mois, aujourd'hui c'est 1800 euros par mois". Seul hic : il avait alors fait référence aux prix à l'année et non mensuels, ne suscitant toutefois aucune réaction, ni même correction, de la part du Premier ministre. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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