Frédéric Leclerc-Imhoff : ce nouveau moment terrible pour la famille du journaliste de BFMTV
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Frédéric Leclerc-Imhoff La dépouille du journaliste français de BFMTV, Frédéric Leclerc-Imhoff, a été rapatriée dans la nuit de mercredi à jeudi. Les membres de sa famille l'ont accueilli le coeur meurtri à l'aéroport du Bourget.
La dépouille du journaliste français de BFMTV, Frédéric Leclerc-Imhoff, a été rapatriée dans la nuit de mercredi à jeudi. Les membres de sa famille l'ont accueilli le coeur meurtri à l'aéroport du Bourget.
Les épreuves s'enchaînent pour la famille de Frédéric Leclerc-Imhoff. Tué le 30 mai par un éclat d'obus alors qu'il couvrait la guerre en Ukraine pour BFMTV, le journaliste français a été rapatrié sur son territoire d'origine dans la nuit de mercredi à jeudi, aux alentours de trois heures du matin. Sa dépouille recouverte d'un drap noire et arrivée sur le tarmac de l'aéroport du Bourget, a été accueillie par plusieurs de ses proches, amis intimes et membres de sa famille. Un nouveau moment extrêmement douloureux.
De leur côté, les deux personnes qui faisaient équipe avec Frédéric Leclerc-Imhoff en Ukraine pour BFMTV, le reporter Maxime Brandstaetter et la journaliste-traductrice ukrainienne Oksana Leuta, étaient pour leur part rentrées en France le 3 juin. Ce mercredi 8 juin, en fin de matinée, tous les collègues du malheureux défunt ont observé une minute de silence en mémoire du journaliste de 32 ans. Une nouvelle étape douloureuse mais irrémédiable dans le deuil.
La dépouille de Frédéric Leclerc-Imhoff a été rapatriée à Paris
Un hommage lui sera rendu vendredi à 18h30 place de la République à Paris, à l'appel de Reporters sans frontières (RSF) notamment. Sa famille, ses amis et ses collègues seront présents. Âgé de 32 ans, Frédéric Leclerc-Imhoff travaillait pour BFMTV depuis six ans et effectuait alors sa deuxième mission en Ukraine, en tant que journaliste reporter d'images (JRI). "Frédéric n'était pas une tête brûlée. Il pesait chaque minute de sa mission", avait déclaré à l'antenne Marc-Olivier Fogiel, le directeur général de la chaîne, juste après l'annonce de sa mort.