Florian Philippot : son incroyable tacle à Bernard Montiel déclenche l'hilarité sur le plateau de TPMP

Invité de Touche pas à mon poste mardi 4 janvier, Florian Philippot s'en est pris à Bernard Montiel, et n'a pas mâché ses mots pour descendre en flèche le chroniqueur. De quoi provoquer l'hilarité de ses comparses. Une missive qui n'est pas passée inaperçue. Il y a quelques mois, Florian Philippot a fait un retour tonitruant sur la scène politique en annonçant sa candidature à l'élection présidentielle, participant à de nombreuses manifestations anti-vaccin et se posant en critique du pass sanitaire. Invité de Touche pas à mon poste, l'ancien bras droit de Marine Le Pen en a profité pour répondre aux nombreuses polémiques, entre les propos de Véronique Genest, ou encore, les violentes menaces proférées à l'encontre de Paul Larrouturou. L'occasion également de se confronter à Bernard Montiel, résolument en faveur des mesures gouvernementales. "Je suis content que cette affaire ressuscite Florian Philippot qui avait disparu des cadrans", a ainsi soufflé le chroniqueur de Touche pas à mon poste à propos de l'invité politique, avant que ce dernier ne rétorque sans détour : "Eh bien moi, je pensais que vous étiez encore à Video Gag, alors..." De quoi moucher Bernard Montiel, qui a reconnu une sortie intrépide, alors que Cyril Hanouna lui, a qualifié son invité de "bat*rd" en riant. "Ce qu'il t'a mis", s'est ainsi moqué l'animateur, tandis que son chroniqueur a reconnu que "c'est pas mal". "Il serait plus sympathique en chroniqueur", a-t-il ajouté. Florian Philippot dans le viseur de Marine Le Pen Une confrontation accueillie avec humour, qui a débouché par la suite sur un dialogue de sourd, entre Florian Philippot et Bernard Montiel, rapidement écourté par Cyril Hanouna. Il faut dire que les deux hommes ne partagent pas du tout les mêmes opinions concernant le vaccin, l'ancien député européen étant un fervent antivax. De quoi amuser en août dernier Marine Le Pen, qui n'avait pas manqué de tacler violemment son ancien protégé, elle qui se moque également de sa candidature à l'élection présidentielle. "S'il prend le leadership des antivax, grand bien lui fasse ! Il n'y a rien que lui pour croire que ceux qui ont manifesté dans la rue étaient ses soutiens", avait-elle ainsi lancé, et de souligner le "besoin d'exister" de son rival. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités