EXCLU. Bénabar "grand bourgeois" : le chanteur sans tabou sur son train de vie
Le chanteur Bénabar s'est confié en exclusivité à Closer pour revenir notamment sur sa richesse et ce qu'il en pense.
Star mais pas trop. Le chanteur Bénabar, poète et compositeur qui a grandi en banlieue parisienne mais aussi à Bruxelles, s'est confié à Closer sur une vie entre popularité et normalité. Car avant d'être un chanteur, Bruno Nicolini est avant tout un bon vivant qui a appris à apprécier les petits plaisirs simples de la vie, comme il l'explique dans une interview à retrouver en intégralité dans le magazine Closer qui sera en vente à partir du 26 août. Il ne peut cependant nier son succès et ses quelques trois millions de disques vendus, qui ont contribué à faire de sa vie ce qu'elle est aujourd'hui. Comme Bénabar l'explique, ce qui a le plus changé pour lui depuis ses débuts est son "niveau de confort matériel".
"Fils d'une libraire et d'un technicien régisseur de cinéma, j'ai conscience d'être désormais un privilégié et d'avoir le train de vie d'un grand bourgeois". Mais cela ne veut pas dire pour autant que Bénabar mène la grande vie. Comme il le dit, son train de vie bourgeois n'entraîne pas nécessairement des excès, et pas seulement pour des raisons d'habitude. "Attention, je suis phobique de l'avion, je n'aime ni skier ni aller à la plage et je ne fréquente pas de clubs huppés. On ne m'invite pas non plus dans les soirées" explique-t-il. Ce manque d'invitation ne semble pourtant pas le déranger le moins du monde puisque d'après Bénabar, un endroit vaut plus que tous les clubs les plus chics du monde.
Bénabar : "C'est un milieu où il y a beaucoup d'ordures"
"De toute façon, le plus bel endroit du monde, c'est à Gordes, dans le Vaucluse, où nous vivons avec ma famille". Une famille qu'il tient d'ailleurs à préserver du monde du showbusiness qu'il n'apprécie pas tant que ça car "c'est un milieu où il y a beaucoup d'ordures" même s'il réserve quand même de belles surprises : "des amours comme Isabelle Nanty, Renaud, Cali ou Pascal Obispo".Père de deux enfants, Ludmilla, 13 ans et Manolo, 18 ans, Bénabar les élève avec sa femme Stéphanie dans un environnement qui lui permet de leur transmettre de bonnes valeurs. "J'espère leur avoir inculqué la valeur travail, la persévérance, l'esprit critique, le recul et le respect de l'autre".
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