Eric Zemmour : son incroyable charge contre François Hollande au sujet des attentats du 13-Novembre

Présent du côté de Bordeaux à l'occasion des 6 ans du 13 novembre 2015, Éric Zemmour a suscité la polémique en chargeant l'ancien président de la République, François Hollande, au sujet des attentats terroristes perpétrés à Paris ce jour-là. Bien qu'il ne se soit toujours pas officiellement déclaré candidat à l'élection présidentielle de 2022, Éric Zemmour multiplie les prises de paroles depuis qu'il a été contraint de se retirer de l'antenne deCNews après une décision du CSA. Toujours bien placé dans les différents sondages d'intentions de vote des Français, l'éditorialiste ne manque jamais de susciter la polémique à chacune de ses interventions, que ce soit à la télévision, à la radio, ou bien même sur scène. Le polémiste a d'ailleurs encore fait parler de lui samedi 13 novembre 2021, alors que les Français se remémoraient la tragédie des attentats du 13 novembre 2015 à Paris. Présent du côté de Bordeaux, Éric Zemmour a bien évidemment saisi l'occasion de s'exprimer au sujet de ce drame national, qui a coûté la vie à de nombreuses personnes il y a maintenant 6 ans. Le polémiste a notamment chargé l'ancien président de la République, François Hollande, qui était encore à la tête du pays lorsque cette tragédie s'est produite. "Il (François Hollande, ndlr) savait qu'il y aurait des terroristes mais il n'a rien fait. Il était au courant du danger et il a préféré que des Français meurent plutôt que d'empêcher des migrants d'entrer en France", a déclaré Éric Zemmour, faisant ainsi écho au témoignage de l'ancien chef de l'État lors du procès des attentats du 13 novembre 2015, qui se déroule actuellement à Paris. Éric Zemmour fustigé par Juliette Méadel suite à ses propos sur François Hollande Bien évidemment, les déclarations de l'ancien polémiste de CNews ont suscité la controverse. Des propos "lamentables" et "indignes" pour les victimes, "insultants" pour François Hollande et "faux", a notamment réagi l'ancienne secrétaire d'Etat chargée de l'aide aux victimes, Juliette Méadel, sur Twitter. "Hélas, nous n'avions pas l'information qui aurait été décisive pour empêcher les attentats", a déclaré François Hollande à la barre de la cour d'assises spéciale de Paris. "Nous ne savions pas où, quand et comment ils allaient frapper", a insisté le prédécesseur d'Emmanuel Macron. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités