Enora Malagré copieusement insultée : elle publie en réponse un nouveau message fort sur ses avortements
Prise pour cible par plusieurs internautes après ses confidences sur ses avortements, Enora Malagré s'est emparée d'Instagram le 28 septembre pour se défendre.
À l'occasion de la journée du droit à l'avortement, ce mardi 28 septembre, Enora Malagré a une nouvelle fois levé le voile sur son passé avec l'interruption volontaire de grossesse. "J'ai avorté deux fois", a-t-elle déclaré sur les réseaux sociaux. Mais comme toute célébrité, elle a droit à des admirateurs comme à des détracteurs. L'ex-chroniqueuse deTouche Pas à Mon Poste s'est, malgré elle, attirée les foudres de nombreux internautes. Dans une vidéo relayée sur son compte Instagram, elle a d'abord confié avoir eu droit à "des milliers de messages" d'une "rare violence." Réputée pour son caractère bien trempé, elle a refusé de se laisser abattre.
Enora Malagré a donc relayé un nouveau message coup de poing sur son compte Instagram, toujours ce mardi 28 septembre, afin de répondre "aux flots d'insultes" dont elle a été la réceptrice. "Je re-déclare que j'ai avorté deux fois. Que cétait une solution à un moment de ma vie mais pas un échec", a-t-elle affirmé en légende d'un cliché dans lequel elle a le bras droit brandi en l'air, contractant son bicep. Un geste universel qui se passe d'explication. "En parler est toujours délicat et pas sans émotion mais je marche la tête haute, je suis libre de disposer de mon corps. Je suis experte de ma propre vie. Le droit à l'avortement est un droit fondamental et humain et je milite férocement pour l'allongement des délais !", conclut-elle.
Enora Malagré atteinte d'endométriose
Cette publication a aussi été l'occasion pour Enora Malagré de le rappeler : ses avortements n'ont aucun lien avec son endométriose. Car, elle souffre quotidiennement de cette maladie gynécologique depuis plusieurs années et tend à briser le tabou qui l'entoure. Ainsi, et à maintes occasion, elle s'est confiée sur ses difficultés avec la maladie. Celle-ci, première cause d'infertilité en France, l'empêche d'ailleurs de fonder la famille dont elle rêve. Toutefois, Enora Malagré n'exclut pas l'adoption.
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