Delphine Jubillar : cette phrase à glacer le sang glissée par un gendarme a une habitante de Cagnac
Ce dimanche 16 mai, une nouvelle battue était organisée afin d'essayer de retrouver Delphine Jubillar, disparue depuis maintenant cinq mois. Une opération pendant laquelle une participante a révélé une hypothèse glaçante glissée par l'un de ses amis gendarmes.
Cinq mois après la disparition de Delphine Jubillar,ses proches continuent à se mobiliser pour tenter de la retrouver. L'infirmière de 33 ans n'a plus donné signe de vie depuis la nuit du 15 au 16 décembre 2020. Ce dimanche 16 mai, une nouvelle battue était organisée dans les environs de Cagnac-les-Mines, dans le Tarn, à l'initiative de ses plus proches copines. Cette fois-ci la soixantaine de participants a décidé d'investiguer aux alentours d'une vaste zone forestière, située non loin du cimetière Saint-Dalmaze. Un lieu "relativement accidenté", "boueux et glissant", qui n'a pas manqué de soulever de nombreuses interrogations parmi les personnes ayant pris part à cette cette opération, comme le rapporte Le Parisien : "Nous sommes quand même très loins de la première route et du premier parking" a observé une participante après quelques dizaines de minutes de marche. "Comment une personne aurait-elle pu transporter en pleine nuit le corps de Delphine Jubillar sur un parcours aussi difficile ?" s'est-elle interrogée. Une question à laquelle Elisabeth, une autre habitante de Cagnac, a évoqué une hypothèse qui a de quoi glacer le sang : "Un ami gendarme m'a dit qu'il était possible qu'un meurtrier développe, après son crime, une force presque surnaturelle pour dissimuler son acte".
La présence surprise de Cédric Jubillar
A noter que Jean-Baptiste, cueilleur de champignons et grand connaisseur de la forêt a de son côté fait savoir que son pendule lui indiquait la présence éventuelle du corps de Delphine "sur la retenue d'eau de Fourogue". Une information qu'il assure avoir transmise à la gendarmerie sans savoir "ce qu'elle en a fait". Autre présence discrète mais remarquée lors de ces nouvelles fouilles qui n'ont malheureusement rien donné, celle du mari de Delphine, Cédric Jubillar. A peine reconnaissable avec son masque de protection et sa casquette, il a fait le choix de rester en retrait et n'est pas resté très longtemps, "peu convaincu, semble-t-il, par l'utilité de ce rassemblement de bonnes volontés", selon Le Parisien. Pour rappel, le père de famille a été reconnu comme victime par l'autorité judiciaire qui lui a accordé le statut de partie civile fin avril, toutefois cela ne l'empêche pas d 'être également considéré comme un potentiel suspect.
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