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Arts et People

Christophe Dominici : au bord des larmes, son père Jean réfute catégoriquement la thèse du suicide dans TPMP

Trois mois après la mort de Chistophe Dominici, son père Jean n'accepte toujours pas la thèse du suicide pour expliquer la disparition de son fils, comme il l'a confié sur le plateau de Touche pas à mon poste. Jean Dominici est catégorique : son fils n'a pas pu se suicider. Le 24 novembre dernier, Christophe Dominici était retrouvé mort à Boulogne-Billancourt après avoir fait une chute de 20 mètres depuis un bâtiment désaffecté. Pour cette tragique disparition, le père du rugbyman préfère parler d'un "accident, de chute pendant une crise, une bouffée délirante aiguë". Mais pas d'un suicide, même s'il savait que depuis plusieurs mois le rugbyman était en proie à une lourde dépression. "Je pense qu'il a vu un parapet, il a dû se mettre là, se pencher et tomber", explique ainsi Jean Dominici, invité jeudi 25 février sur le plateau de Touche pas à mon poste. Catégorique sur ce point, et rongé par les remords, Jean Dominici a expliqué que si son fils Christophe avait "voulu se suicider" il n'aurait pas pu. Et ce pour plusieurs raisons. "Déjà il aimait trop sa famille, et il aimait trop ses filles, il aurait laissé un mot, il aurait peut-être laissé des signes, je ne sais pas", explique-t-il, privilégiant la thèse de la chute accidentelle, lui qui a appris la mort de son fils de façon étrange après avoir reçu plusieurs appels de son entourage qui voulaient s'assurer qu'il allait bien. Jean Dominici en veut à la psy de son fils Trois mois après la disparition de Christophe Dominici, Jean Dominici cherche toujours les raisons de la disparition de son fils, avec qui il a eu un échange poignant par SMS peu de temps avant sa mort. Au courant de la dépression du rugbyman, son père blâme aujourd'hui la psychologue qui suivait son fils, et regrette lui-même de ne pas avoir pu aider son fils avant sa mort. "Moi je sais pas la psy qui le suivait ce qu'elle lui a donné, comment elle a voulu le soigner mais il était pas bien. (...) Moi je pense que sa psy aurait dû le suivre, le faire rentrer dans une clinique s' il ça n'allait pas", a-t-il déclaré avant d'ajouter qu'à son sens les séances de psy ne peuvent pas se dérouler par visioconférence : "C'est une maladie je pense qu'il faut voir les gens, il faut parler avec eux" a-t-il martelé. Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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