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Arts et People

Cédric Jubillar : ces deux “preuves de vie” de sa femme Delphine qui pourraient le blanchir

L'enquête sur le disparition de Delphine Jubillar sur le point d'être résolue ? Des éléments concernant l'utilisation du téléphone portable de l'infirmière ont été dévoilés par Le Parisien. Cédric Jubillar va-t-il bientôt quitter la maison d'arrêt de Seysse (Haute-Garonne) ? Cela fait désormais plus de deux mois que le mari de Delphine Jubillar, disparue le 16 décembre 2020, est en détention. Pour remédier à cette situation et au traitement "inhumain et dégradant" qu'il subirait en prison, ses avocats ont déposé ce 25 août une seconde demande de remise en liberté auprès de la chambre de l'instruction. En attendant de savoir si cette nouvelle demande sera acceptée, Le Parisien a dévoilé le 24 août quelques éléments de l'enquête qui pourraient jouer un rôle crucial dans le dossier de Cédric Jubillar. Même si la mort de Delphine Jubillar reste supposée, aucun corps n'ayant été retrouvé, son mari a été mis en examen pour meurtre aggravé sur conjoint il y a plusieurs semaines. Pourtant les trois avocats du principal suspect ont déjà pointé du doigt un "dossier vide de preuves" ainsi que "deux preuves de vie susceptibles de disculper leur client" comme le rapporte toujours Le Parisien. Il s'agit d'activité ayant eu lieu sur le téléphone de l'infirmière de 33 ans, un Huawei P30 sur lesquels les policiers n'ont jamais pu mettre la main. A 0h11 la nuit de sa disparition, une connexion à l'application WhatsApp a été faite à partir du téléphone de Delphine Jubillar. A 1h33 le même matin, la caméra du téléphone portable a été activée. Preuve de vie ou bug informatique ? Très peu d'informations ont été dévoilées à propos de ces activités virtuelles pouvant possiblement mener à Delphine Jubillar. Déjà en janvier dernier, le compte Facebook de la jeune femme avait été activé et un message avait été posté, semant la confusion dans l'enquête. Pas certain cependant que ces éléments puissent jouer en la faveur d'une libération de Cédric Jubillar. Dans l'arrêt rendu le 8 juillet dernier, la chambre de l'instruction de la Cour d'appel de Toulouse avait en effet estimé qu'il n'y a "aucune certitude sur le fait que ce soit Delphine Jubillar qui ait fait usage de son compte WhatsApp ou de sa caméra". L'activation du smartphone de Delphine Jubillar ne sera donc peut-être pas si décisive que ça dans la décision concernant la demande de remise en liberté de son mari. Et pendant qu'il attend en maison d'arrêt, l'enquête, elle, se poursuit toujours. Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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