Cédric Jubillar : cette photo compromettante que lui a envoyée une amie de Delphine
Depuis le 18 juin 2021, Cédric Jubillar est mis en examen pour "meurtre aggravé" sur son épouse, Delphine Jubillar. Plusieurs preuves, dont une photo dans son portable, aurait poussé à cette décision. Son avocat est sorti du silence dans "Femme actuelle" pour rétablir sa vérité.
Cédric Jubillar dort en prison depuis le 18 juin 2021, date à laquelle il a été mis en examen pour "meurtre aggravé" sur sa compagne Delphine Jubillar. Cette dernière est toujours introuvable depuis le 15 décembre 2020. Après de longs mois d'enquête, le procurreur de la République a assuré avoir des preuves assez solides pour affirmer l'implication de son mari dans sa disparition. Seulement, ce dernier continue de crier son innocence. Dans les colonnes de Femme Actuelle, un de ses avocats, Me Jean-Baptiste Alary, est sorti du silence pour défendre son client et démonter "un par un tous les éléments avancés par le procureur de la République de Toulouse lors de sa conférence de presse". Il va d'ailleurs évoquer cette fameuse photo retrouvée dans le téléphone de Cédric Jubillar. Il s'agit de l'amant de son épouse. Seulement, il avait toujours assuré n'être pas au courant de cette relation extra-conjugale.
"Il n'a pas changé de version, mais les choses lui ont été demandées différemment à chaque fois. Il avait en effet des doutes, mais pas de preuve concrète. C'est pourquoi il a dit au départ qu'il ne le savait pas", a ainsi expliqué son avocat avant que la journaliste évoque cette photo dans son téléphone étant donc la preuve qu'il était au courant de l'existance de cet amant. "Cette photo lui a en réalité été envoyée par une amie de Delphine, mais après sa disparition", a-t-il assuré.
Quand aura lieu l'audience de remise en liberté de Cédric Jubillar ?
Des arguments que l'avocat comptent bien développer lors de l'audience prévue mardi 6 juillet 2021 pour demander la remise en liberté de Cédric Jubillar. "Elle sera d'ailleurs publique, car nous l'avons voulu. Il faut que les Français, qui ont écouté la conférence de presse du procureur de la République de Toulouse, puissent également entendre tous les arguments de notre défense. Et ils sont nombreux."
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