"Ca n'a aucun intérêt" : Gilles Verdez remonté contre une décision d'Emmanuel Macron
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"Ca n'a aucun intérêt" : Gilles Verdez remonté contre une décision d'Emmanuel Macron Mardi 16 novembre, sur le plateau de Touche pas à mon poste, le ton est un peu monté du côté de Gilles Verdez, qui s'est montré très mécontent face à une nouvelle décision d'Emmanuel Macron.
Mardi 16 novembre, sur le plateau de Touche pas à mon poste, le ton est un peu monté du côté de Gilles Verdez, qui s'est montré très mécontent face à une nouvelle décision d'Emmanuel Macron.
Le drapeau français a déchainé les passions le temps d'un bref instant sur le plateau de Touche pas à mon poste. Et pour cause, Emmanuel Macron a pris la décision de changer les couleurs du drapeau français. Pas de changement majeur pour l'étendard tricolore mais un simple changement du bleu, décidé depuis le mois de juillet 2020. "Il s'est levé un matin, il a dit 'tiens, le drapeau est trop terne, il faut que je lui redonne de la vie, de la life", a plaisanté Cyril Hanouna en direct sur C8. L'animateur a toutefois émis un avis sur ce changement : "le bleu est plus bleu", a-t-il notifié.
Plusieurs chroniqueurs ont rebondi sur cette actualité, notamment Valérie Benaïm qui a fait un petit rappel historique, affirmant qu'Emmanuel Macron n'a pas été le seul président de l'histoire à changer les couleurs du drapeau français. "Giscard avait changé ce bleu, il avait mis ce bleu-ci parce qu'il voulait un bleu qui soit en rapport avec celui du drapeau européen. Macron quand il change ce bleu il veut que ce bleu soit en rapport avec celui des Poilus de 1914 et les compagnons de la France libre", rappelle-t-elle.
Gilles Verdez dénonce des conseillers qui auraient "voulu justifier leur salaire"
Après ce rapide saut dans l'histoire, Cyril Hanouna s'est tourné vers Gilles Verdez et lui demande son avis, persuadé que celui-ci sera négatif. Et il ne s'est pas trompé : "C'est complètement ridicule", lance-t-il en fustigeant des conseillers "qui ont voulu justifier leur salaire". Le chroniqueur a souhaité attirer l'attention sur le prix de ce changement : "Ça coûte quand même 5 000 euros rien que pour changer quelques emblèmes. Ça n'a aucun intérêt", s'est-il indigné en dénonçant une modification faite "en catimini", puis "annoncée dans un livre".
Gilles Verdez persiste à afficher son désaccord avec le président de la République, affirmant que le bleu initial était parfaitement adapté. "C'était très bien, c'était le bleu de l'Europe, et là on veut nous le changer pour le bleu des Poilus et de 1793. Ça n'a aucun sens, laissons le bleu tel qu'il était", s'est-il énervé.
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