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Arts et People

Restes humains et bistouris rouillés : la découverte d'un "temple" fait froid dans le dos

1/6 - Police C'est une découverte effroyable. Dans la commune de Trébons dans les Hautes-Pyrénées, un crâne et des ossements ont été découverts dans la nuit de vendredi au samedi 2 décembre 2022. Dans les Hautes-Pyrénées trois jeunes hommes ont découvert des ossements dans ce qui pourrait être un temple. C'est une découverte effroyable. Dans la commune de Trébons dans les Hautes-Pyrénées, un crâne et des ossements ont été découverts dans la nuit de vendredi au samedi 2 décembre 2022. Trois jeunes spécialistes d'exploration urbaines ont fait cette macabre découverte. Ils ont tout de suite appelé la gendarmerie qui s'est rendue sur place avec l'institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale. Les jeunes gens qui ont découvert les ossements se sont confiés au Parisien. "Nous étions ce jour-là à Trébons où l'un de mes collègues avait repéré une série de lieux susceptibles de nous intéresser. Notamment cette bâtisse aux allures de vieux château en pierre de taille avec des tourelles en partie détruites, une toiture effondrée et une grande grue rouillée, comme si les travaux avaient été interrompus et le temps s'était arrêté". Il est 22 heures lorsqu'ils parviennent à rentrer dans la propriété. "On découvre une galerie souterraine aux proportions impressionnantes. Les murs sont en granit et de grandes voûtes donnent au lieu une ambiance de temple". "Au centre de l'une des pièces, deux petits piliers reposent sur une dalle entourée d'un cercle de peinture blanche. Comme s'il s'agissait d'un autel sur lequel auraient pu avoir lieu des rites païens... ou maçonniques". Des ossements d'animaux également trouvés Les jeunes explorateurs continuent leur périple et vont ainsi découvrir un crâne et des os humains. "Nous avons repéré deux mâchoires qui semblaient de plus petite taille que le crâne". Des restes d'animaux ont également été retrouvés. "Ces restes sont érodés et très usés, explique une source officielle. Ils datent peut-être de plus d'un siècle". L'ex-propriétaire des lieux, dont l'appartenance à la franc-maçonnerie est établie, n'était pas connu des services de police et de gendarmerie.

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