"Appelez la police, j'ai tué..." : une résidence sous le choc après un meurtre épouvantable

Un horrible drame s'est produit à Meudon-la-Fôret, située dans les Hauts-de-Seine, où une femme a perdu la vie après avoir été poignardée à plusieurs reprises par son compagnon, comme l'a dévoilé CNews mardi 1er novembre 2022. Les habitants de la résidence du Parc, située à Meudon-la-Forêt, dans le département des Hauts-de-Seine, ont été les témoins d'un terrible drame mardi 1er novembre 2022. Ce jour-là, un homme, âgé d'environ une cinquantaine d'années, est sorti de chez lui en criant qu'il avait tué sa femme, "en chaussettes et les mains en sang", selon les témoignages recueillis par la police sur place. D'après les informations dévoilées par la chaîne d'information en continuCNews, cette résidence fut le théâtre d'un drame conjugal, étant donné que la compagne de l'homme en question est morte après avoir reçu plusieurs coups de couteau. "Appelez la police, j'ai tué ma femme", a lancé le meurtrié présumé, répondant au nom de José M., selon les informations recueillis par Le Parisien. Les voisins du couple impliqué dans ce drame ont aussitôt appelé les sapeurs-pompiers. Ces dernier ont découvert une femme blessée, portant plusieurs plaies à l'arme blanche sur son corps. Gisant dans son logement lors de l'arrivée des secours, elle fut immédiatement transportée en urgence à l'hôpital Georges-Pompidou. "Mais elle n'a pas survécu, elle est décédée pendant le transport à l'hôpital", a souligné une source proche de l'enquête. Meurtre à Meudon-la-Fôret : deux enfants étaient présents au moment du drame De son côté, le compagnon de la victime avait quitté les lieux du drame lorsque la police est arrivée. Finalement, il a été arrêté à la fin de la journée au sein du secteur, par un équipage du commissariat local. Placé en garde à vue, le suspect a été interrogé par le service départemental de police judiciaire, qui fut saisi de l'enquête par le parquet de Nanterre. Par ailleurs, deux enfants auraient assisté à l'agression mortelle de la victime par son compagnon. "Nous n'avons pas confirmation qu'il s'agit des enfants du couple", a précisé la même source.