Prince Harry : cette nouvelle polémique dont il se serait bien passé
Le prince Harry fait parler les gros titres... malgré lui. Engagé pour des causes caritatives, le duc de Sussex est très actif sur le continent africain. Le père d'Archie et Lilibet considère le continent africain comme sa "deuxième maison". Et si nul ne doute de la sincérité de son engagement, le prince Harry risque de devoir monter au créneau en raison d'une récente polémique.
Les révélations fracassantes sur les méthodes de l'ONG
Le prince Harry est membre d'African Parks. L'organisation caritative basée à Johannesbourg, en Afrique du Sud, agit pour la protection des parcs nationaux et des zones protégées en Afrique. Des actuels et anciens employés ont brisé le silence pour dévoiler ce qu'il se passe dans les coulisses de l'organisation. Des témoignages recueillis par Olivier Van Beenman dans son livre Entrepreneurs in the Wild, qui paraîtra prochainement. On y découvre ainsi que les membres d'African Parks ont recours "à la torture et au viol".
"Je pense que le prince Harry et les autres membres du conseil d'administration devraient remettre en question le modèle de l'organisme, ses pratiques et que sa gouvernance devrait revoir ses propres rôles", a dénoncé le journaliste néerlandais Olivier Van Beenman dans une interview au journal anglais The Times. Un ancien ranger avait ainsi déclaré que l'une des méthodes employées était le kampelwa, traduisez le fait d'attacher les mains et les pieds ensemble dans le dos, en attachant l'individu sur un bâton. "Ensuite, vous faites tourner le bâton et vous le tapez. Ça ne dure pas longtemps car c'est douloureux", a raconté un ancien ranger, comme le rapporte The Times.
La défense de l'ONG
Pour rappel, le prince Harry a été rejoint les membres du conseil d'administration depuis 2023 - il a auparavant été président de l'ONG pendant six ans. Le mari de Meghan Markle est très impliqué : il a supervisé la politique caritative d'African Parks et et la gestion des 22 parcs qu'elle protège.
African Parks a écarté les accusations dont elle fait l'objet, déclarant ne pas être au courant de ces méthodes de torture. Contacté par la presse anglais, le prince Harry, lui, n'a pas donné suite.