Patrick Poivre d'Arvor accusé de viols : sa fille Morgane évoque des “scènes choquantes”
Alors que de nouveaux témoignages incriminants ont été publiés dans Le Monde au sujet de Patrick Poivre d'Arvor ce lundi 15 mars, sa fille Morgane a décidé de sortir de son silence afin de prendre la défense de son père.
Patrick Poivre d'Arvor peut compter sur le soutien de sa fille. Alors que le journaliste est accusé de viols et d'agressions sexuelles par l'écrivaine Florence Porcel, ce lundi 15 mars ce sont de nouveaux témoignages glaçants qui ont été publiés parLe Monde et ceux-ci ne jouent pas en la faveur de l'ex-star de TF1. En effet, huit femmes interrogées par le journal ont appuyé les accusations qui pèsent déjà contre le présentateur. Trois d'entre elles accusent PPDA de viol, les autres font état d'agressions sexuelles tandis que les faits se seraient produits entre les années 1990 et les années 2000.
Les victimes présumées affirment que pour les contraindre, le journaliste aurait abusé de sa "position dominante", en les menaçant de saboter leur carrière et leur réputation si elles venaient à refuser ses avances. "Je n'avais pas le choix, sinon je ne travaillais plus. Quand j'ai voulu que notre collaboration s'arrête, il a été vexé et cruel, et est allé dire à toute la rédaction que j'étais nulle." raconte notamment une journaliste qui démarrait dans la profession au moment où elle a fait la rencontre de PPDA.
Morgane Poivre d'Arvor sort de son silence
Si l'ancien compagnon de Claire Chazalcontinue de démentir fermement les faits qui lui sont reprochés, c'est également le cas de sa fille Morgane Poivre d'Arvor, qui a souhaité prendre la défense de son père. Dans un mail envoyé au Monde, elle écrit : "Aucun membre de ma famille n'a jamais été témoin d'un quelconque acte de violence ou déplacé". La femme désormais âgée de 40 ans reconnaît néanmoins avoir été témoin de scènes qu'elle qualifie de "choquantes", de la part de "fans" qui harcelaient son géniteur : "Des femmes dormaient sur le seuil de notre porte, d'autres chantaient sous nos fenêtres ou s'amusaient à nous faire peur. (...) Certaines d'entre elles continuent à nous harceler, ma sœur et moi, pour qu'on leur obtienne des rendez-vous avec lui" s'est-elle souvenue. Une version également soutenue par une assistante de longue date de PPDA.
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