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Arts et People

"Pas l'homme que je connais" : une salariée de TF1 prend la défense de PPDA accusé d'agressions sexuelles

C'est un témoignage qui va à contre-courant des autres. Dimanche 12 décembre, une des anciennes assistantes de Patrick Poivre d'Arvor a défendu le journaliste accusé d'agressions sexuelles, dans un reportage de Sept à Huit. C'est une diffusion queles accusatrices de Patrick Poivre d'Arvor attendaient avec impatience. Ce dimanche 12 décembre, TF1 diffusait dans Sept à Huit, un reportage dans lequel plusieurs victimes supposées du journaliste prenaient la parole. Mais parmi les personnes interrogées, une assistante de PPDA a tenu à donner sa version des faits. De 1999 à 2003 Armel Arnoult l'accompagne en plateau. Toujours salariée dans le groupe de la première chaîne, elle évoque celui qu'elle accompagne toute la journée et qui ne correspond en rien au portrait que les supposées victimes peignent de lui. En effet, Armel Anoult défend l'ancien présentateur phare de TF1 : "Je ne l'ai jamais vu manqué de respect à  une femme. Je ne lui ai jamais connu un geste déplacé ni un mot déplacé. Ce n'est pas du tout l'homme que je connais. Le Patrick que je connais n'aurait jamais contraint quelqu'un", confie-t-elle. Quand le journaliste de Sept à Huit lui rétorque que de nombreuses personnes chez TF1 auraient été au courant des agissements de Patrick Poivre d'Arvor, elle répond : "On a vécu dans deux mondes parallèles alors. Vous vous rendez compte, une rédaction qui bosserait sous la coupe d'un pervers polymorphe, ça se serait su bien au delà et tout le monde se serait barré et aucune femme ne serait restée", explique-elle. Armel Arnoult : "On les prévenait qu'elles risquaient plus de se faire draguer" Néanmoins, elle reconnaît le côté dragueur très prononcé chez PPDA : "Tout le monde savait quoi ? Que c'était un séducteur ? Oui, oui. On prévenait oui les jeunes filles. Mais on les prévenait qu'elles risquaient plus de se faire draguer et donc qu'elles soient prêtes à être draguées , ce qui pouvait être un tout petit peu intimidant et déroutant. On peut comprendre que certaines n'oseraient pas dire 'non' et seraient très mal à l'aise". Des déclarations qui vont totalement à l'encontre des dizaines de témoignages recueillis par d'autres femmes. Loading widget Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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