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Olivier Véran perd son flegme : cette phrase improbable lâchée aux sénateurs

Face aux sénateurs, jeudi 22 juillet 2021, Olivier Véran a tenté le tout pour le tout pour expliquer en quoi le contrôle du pass sanitaire devait devenir obligatoire. Une comparaison qui laisse songeur. Jeudi 22 juillet 2021, alors que le projet de loi sur le pass sanitaire était débattu à l'Assemblée nationale, Olivier Véran était face aux sénateurs afin de les convaincre que le "contrôle systématique" du pass sanitaire était indispensable. Pour se faire comprendre, le ministre des Solidarités et de la Santé n'a pas hésité à lancer une comparaison pour le moins surprenante. "Si on demande aux gens d'être eux-mêmes responsables et qu'il n'y a pas de contrôles... (...) Un pass où il n'y a pas un contrôle systématique, c'est un abonnement Netflix familial", a-il ainsi estimé devant les sénateurs de la commission des Lois avant d'ajouer pour pousuivre dans la métaphore télévisuelle : "C'est indispensable d'avoir du contrôle, c'est comme les codes Canal, tout le monde va se les passer, donc il faut qu'il y ait du contrôle". Quelques minutes plus tard, c'est un Olivier Véran particulièrement agacé qui a voulu transmettre une nouvelle information aux sénateurs concernant le pass sanitaire. Il a révélé que toutes les les personnes des consulats et des ambassades ont été "encouragées à être vaccinées avec des vaccins reconnus par l'Agence européenne du médicament (EMA). Nous n'avons pas distribué de Sputnik dans les ambassades". Seulement, en face de lui, un sénateur lui tient tête et lui assure que les personnes des ambassades ont été "incitées à se faire vacciner localement". Des propos qui n'ont pas plus au ministre et qui lui ont fait perdre son sang-froid. Pourquoi Olivier Véran a perdu son sang-froid face aux sénateurs ? "Oh la la, mais c'est pas vrai !", a-t-il lâché visiblement énervé avant de se reprendre et d'aller au bout de sa pensée : "Bon : tous les gens qui ont été vaccinés avec des vaccins non reconnus par l'EMA, on ne va évidemment pas reconnaître leurs vaccinations. Il n'y a pas deux catégories de Français, ceux qui vivraient en France et ceux qui vivraient à l'étranger." Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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