Nicolas Pernikoff bouleversé : le chroniqueur fond en larmes sur le plateau de Touche pas à mon poste
Présent sur le plateau de Touche pas à mon poste vendredi 8 avril 2022 sur C8, le chroniqueur Nicolas Pernikoff a fondu en larmes au cours d'un débat, durant lequel il s'est opposé à Guillaume Genton.
Ancien dirigeant au sein de France Télévisions, Nicolas Pernikoff fait désormais partie des chroniqueurs récurrents de Cyril Hanouna dans Touche pas à mon poste sur C8. Présent sur le plateau du talk-show vendredi 8 avril 2022, il a pris part à un débat portant sur un fait divers qui s'est déroulé le mercredi 6 avril 2022 à Champigny-sur-Marne. Ce jour-là, un chien de type American Staff fut abattu par les autorités après avoir blessé 2 adolescentes. Possédant lui-même un chien de cette race, Nicolas Pernikoff a fait part de son expérience.
"J'ai eu un problème avec mon American Staff il y a trois jours, qu'on a failli piquer. L'American staff n'est pas un chien comme un autre, c'est la première chose. C'est un chien spécifique, extrêmement puissant et même quand il joue, il peut être dangereux. Il n'a qu'un maître. Il faut apprendre de cette race si on veut un American staff. Le problème aujourd'hui, c'est qu'on est en train de tout mélanger", a tout d'abord indiqué le chroniqueur, avant de poursuivre.
Nicolas Pernikoff : "Il fallait tuer ce chien car on ne sait pas d'où il vient"
"Il y a trois jours, mon chien est sorti par mégarde et a mangé un autre chien, le premier risque que j'avais, c'était que la police vienne et le pique, sans explication. A un moment donné, c'est aussi aux gens d'avoir cette responsabilité quand on prend un American staff, ce n'est pas un chien comme un autre mais c'est un des meilleurs chiens qui existe sur terre. Après, on ne compare pas les deux parce qu'on était dans l'urgence. On a répondu à la problématique d'urgence avec la police qui voit 'American staff' et le premier truc comme tous les gens dans la rue, c'est de voir un danger", a ajouté Nicolas Pernikoff, les larmes aux yeux.
"Ton émotion te trahit, tu vois bien que c'est horrible de tuer un chien", lui a rétorqué Guillaume Genton, qui avait jugé la veille que la vie d'un chien valait celle d'un enfant. "Je parle d'un chien que je connais, je sais d'où il vient. Aujourd'hui, les American staff on est en train de nous les mélanger les uns avec les autres. Il y a beaucoup de gens des cités qui prennent ces chiens sans savoir ce qu'il faut en faire. Le problème, c'est que ce chien ne peut pas être seul dans une cité ou dans la rue. On ne peut pas laisser ce chien seul. A un moment donné, il a eu peur.. Mais tu ne peux pas comparer la vie d'un être humain à la vie d'un chien. Là en l'occurence, il fallait tuer ce chien car on ne sait pas d'où il vient, on ne sait pas s'il est vacciné, on ne sait pas si il a la rage, on ne sait pas où est le maître. Quand j'ai eu mon problème il y a trois jours, on m'a appelé et j'ai répondu tout de suite", a répliqué Nicolas Pernikoff.
Loading widget
Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités