Nathalie Rheims et son mari traumatisés : les dessous de leur cambriolage au butin colossal
Selon les informations relayées par Le Parisien, les trois malfrats ayant cambriolé le domicile de Nathalie Rheims et de son mari, ont été condamnés. Nos confrères relatent en détails le déroulé du vol.
Le 25 mars dernier, Nathalie Rheimset son époux ont été victimes d'un cambriolage au sein même de leur domicile à Paris. Trois hommes auraient ainsi volé plus de 300 000 euros de bijoux avant d'être arrêtés par les forces de l'ordre. Selon nos confrères du Parisien, les malfrats ont été condamnés à de la prison ferme, ce lundi 28 mars. Ainsi, Juanito Chainay, dit Tito et ses deux acolytes ont été jugés au tribunal de Paris et ont été reconnus coupables de vol à la fausse qualité. C'est Tito qui a été condamné à la plus lourde peine : trois ans de prison ferme.
Le Parisien révèle alors les dessous de ce cambriolage. "L'affaire du 25 mars, dans le quartier de la Madeleine à Paris est un classique du genre", est-il écrit dans l'article. L'un des individus s'est fait passer pour un faux plombier, venu couper l'eau dans le domicile de Nathalie Rheims et son mari, la porte d'entrée étant laissée entrouverte "pour qu'un complice dérobe quelques menus objets". Quelques minutes plus tard, de faux policiers se sont rendus chez l'écrivaine afin de vérifier que le plombier escroc n'a pas réalisé de cambriolage. "Un stratagème qui permet de se faire ouvrir les coffres et d'en rafler le contenu".
Un cambriolage sur "un coup de tête" ?
Selon les trois individus, le cambriolage chez Nathalie Rheims leur aurait été commandé par "un mystérieux commando [qui] leur aurait transmis un bout de papier où étaient notées l'identité de l'écrivaine et son adresse". Lors de son jugement, Tito a révélé qu'il devait réaliser un cambriolage "simple" mais constatant qu'il y avait du monde dans l'appartement, il se serait rabattu sur ce vol par fausse qualité. Ce n'est pas la première fois que ce fameux Tito est présenté devant un juge : "déjà sous le coup d'un mandat de dépôt pour des faits similaires, dans le cadre d'un dossier encore à l'instruction", il a affirmé avoir fait ce cambriolage sur "un coup de tête".
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