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Arts et People

Nancy : un homme rase de force la tête de sa femme, victime de violences conjugales

1/6 - Nancy : un homme rase de force la tête de sa femme, victime de violences conjugales Les passants ont retrouvé une femme complètement affolée, dans la nuit du jeudi 27 mai, peu avant 1 heure, dans les rues de Saint-Max, près de Nancy. Après l'avoir frappé, un homme a rasé la tête de sa compagne alors que celle-ci venait de lui annoncer son intention de le quitter. Une scène qui s'est déroulée devant les enfants du couple. C'est une femme complétement affolée que les passants retrouvent, dans la nuit du jeudi 27 mai, peu avant 1 heure, dans les rues de Saint-Max, une commune située à côté de Nancy, en Meurthe-et-Moselle. La jeune femme âgée de 26 ans tente d'échapper aux violences de son ex-compagnon. Cette dernière a le crâne rasé à blanc. Les témoins ont d'ailleurs dû s'interposer entre ce dernier et la jeune femme, comme le relate nos confrères de L'Est républicain. La mère de famille vient en effet de vivre une soirée cauchemardesque. Elle aurait été violemment giflée par son conjoint alors qu'elle venait de lui annoncer qu'elle souhaitait mettre un terme à leur relation. Elle a alors expliqué aux policiers que ce dernier lui aurait donné le "choix" entre un tabassage prolongé et le rasage des cheveux. Une scène qui se serait déroulée en présence des enfants du couple. Des violences à la suite desquelles la victime se verra prescrire une incapacité totale de travail de quatre jours par le médecin légiste. Le suspect assure qu'il a rasé la tête de sa compagne à la suite d'un pari... Le suspect, un coiffeur âgé de 29 ans au casier judiciaire vierge, a été interpellé dans la matinée, vers 9 h, et placé en garde à vue au Groupe d'appui judiciaire en charge de l'enquête. S'il a reconnu avoir giflé la victime, il assure que le rasage ne serait qu'un pari avec son ex-compagne. Le jeune homme a été présenté à un juge, ce samedi 29 mai, avant d'être remis en liberté sous contrôle judiciaire. Il a interdiction d'entrer en contact avec la victime et est déchu de ses droits parentaux. Son procès a été fixé au 1er octobre prochain. Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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