Mimie Mathy : cette contre-vérité dont elle est victime qu'elle démolit
Contactée en visioconférence dans C à Vous, Mimie Mathy s'est agacée face à des rumeurs la concernant, mercredi 8 septembre.
Au mois de juillet 2021, un jeune homme s'est emparé de ses réseaux sociaux, prêt à accuser Mimie Mathy de l'avoir agressé dans un supermarché du cap d'Agde, lorsqu'il lui a demandé un selfie. Cet anonyme affirmait alors que l'héroïne de la série Joséphine ange gardien l'a menacé avec des rouleaux de papier toilettes. Les déclarations ont fait le tour de la Toile, provoquant un énorme tollé, et ont finalement touché l'actrice en plein cœur. Invitée à s'exprimer en visioconférence dans C à Vous le 8 septembre dernier, la comédienne a réagi et démenti les allégations du jeune internaute. "Pourquoi avoir dit ça ? Je ne sais pas ce qui lui est passé par la tête", s'est-elle questionnée.
Mimie Mathys'est souvenue être tombée des nues en apprenant l'existence de telles accusations. "Ce sont des copains qui m'ont appelée en me disant : 'Mais qu'est-ce que tu as fait au Cap d'Agde?' Je ne suis jamais allée au Cap d'Agde !", a-t-elle ainsi développé. Et de préciser : "Déjà, je fais mes courses dans des supermarchés sans agresser personne. Je n'ai jamais refusé un selfie. (...) je souhaite qu'il ait beaucoup d'imagination et qu'il s'en serve pour gagner sa vie." Le comble de cette mésaventure ? L'anonyme a finalement confirmé que son récit était inventé de toute pièce. Son compte Twitter a été supprimé dans la foulée.
Mimie Mathy s'engage contre le cyberharcèlement
Pointée du doigt et victime de nombreuses réactions violentes sur les réseaux sociaux, Mimie Mathy a tenté une première fois d'éteindre la polémique, dès les premiers reproches. "Ces derniers jours, une certaine personne s'est 'amusée' à faire circuler sur Twitter une rumeur sur une prétendue agression de ma part. Dans une ville où je ne suis jamais allée", racontait-elle le 18 juillet 2021 sur le réseau social à l'oiseau bleu. Mais, comme elle l'a reconnu dans C à Vous, c'est surtout pour les autres victimes de cyberharcèlement qu'elle s'est inquiétée, celles qui, contrairement aux stars, sont moins habituées (et donc moins armées) face aux haters. Rappelons que le cyberharcèlement est une infraction passible d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende.
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