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Arts et People

Meghan Markle : ce faux prétexte qu'elle aurait utilisé pour écourter une visite royale

Encore du grain à moudre pour ses détracteurs. D'après le tabloïd The Daily Mail, ce mardi 22 juin, Meghan Markle aurait écourté une visite royale pour une raison particulière. En octobre 2018, alors qu'elle s'apprêtait à assure un engagement royal, Meghan Markle était exfiltrée d'un marché des îles Fidji, coupant court à sa visite au côté de sa garde du corps (dont elle s'est séparée peu de temps après) après seulement huit minutes de présence. Elle devait pourtant assister à la conférence UN Women des Nations Unies. Au moment des faits, ses proches collaborateurs ont cité la chaleur, la foule mais aussi sa première grossesse comme des explications. Mais à en croire les informations de ce mardi 22 juin du tabloïd britannique The Daily Mail, le biographe royal Robert Lacey a découvert une autre raison qui pourrait expliquer le départ précipité de la duchesse de Sussex. Selon l'auteur de Battle of Brothers, cité par nos confrères d'outre-Manche, la mère d'Archie et de Lilibet aurait quitté l'événement après avoir été snobée, à ses yeux, par les organisateurs de cette même réunion, quelques années plus tôt. "Meghan a côtoyé des personnalités comme Hillary Clinton... et aurait pu espérer rejoindre la liste distinguée d'ambassadeurs de bonne volonté d'ONU Femmes", souligne Robert Lacey dans son ouvrage. Cette même organisation a fait appel à la mobilisation de Nicole Kidman et Emma Watson, devenues ambassadrices de bonne volonté. De son côté, Meghan Markle n'a eu droit qu'à l'étiquette de militante, ce qui aurait bien pu la froisser, compte tenu de son implication dans le combat pour l'égalité entre les femmes et les hommes. Quels sont les projets de Meghan Markle ? Quoi qu'il en soit, et malgré l'acharnement médiatique dont elle est, encore et toujours, la cible, Meghan Markle a bien su rebondir. Dans un état de détresse psychologique durant ses jours de working royal, la femme du prince Harry est désormais à la tête d'un petit empire baptisé Archewell. Elle a même écrit un livre pour enfants qui, n'en déplaise à ses nombreux détracteurs, s'arrache aux États-Unis. Cependant, au Royaume-Uni, seuls 3 212 exemplaires ont été vendus. Les Britanniques n'apprécient guère sa guerre froide avec la famille royale d'Angleterre et la pointe du doigt comme l'unique responsable du Megxit. Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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