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Arts et People

Marlène Schiappa : son avis très tranché sur l'éventuelle candidature d'Eric Zemmour à la présidentielle

Invitée dans Le grand rendez-vous Europe 1/CNews/Les Echos ce dimanche 13 juin, Marlène Schiappa s'est exprimée sur l'éventuelle candidature d'Eric Zemmour à la présidentielle de 2022. Eric Zemmour sera-t-il candidat à la présidentielle de 2022 ? C'est une possibilité très redoutée par Marine Le Pen, qui voit cette candidature comme une nuisance pour son parti. La cheffe du RN a d'ailleurs appelé Eric Zemmour à ne pas affaiblir, "même un temps soit peu, le camp national". Si le polémiste n'a rien confirmé pour le moment, l'idée fait son chemin depuis plusieurs mois et l'écrivain a même confirmé auprès d'Opinion Internationale qu'il "cautionnait" la pétition lancée en faveur de sa candidature. "Peut-être qu'il faut passer à l'action. (...) Je fais de plus en plus de propositions", avait-il déclaré début juin. Vous l'aurez compris : la candidature d'Eric Zemmour à la présidentielle de 2022 semble de plus en plus palpable. Ce dimanche, Marlène Schiappa était invitée dans le Grand rendez-vous Europe 1/CNews/Les Echos et la ministre déléguée auprès du ministre de l'Intérieur, chargée de la Citoyenneté en a profité pour donner son avis sur cette possible entrée qui pourrait bien chahuter la sphère politique. En affaiblissant la candidature de Marine Le Pen et en favorisant celle d'Emmanuel Macron ? "Je ne fais pas ce genre de calcul et je pense que c'est très dangereux de jouer avec le feu de l'extrême droite", a lâché Marlène Schiappa au micro d'Europe 1. Que pense Marlène Schiappa de la possible candidature d'Eric Zemmour ? Pour la ministre, la candidature d'Eric Zemmour ne serait pas particulièrement préférable à celle de Marine Le Pen. "Eric Zemmour participe depuis des années à la diffusion des idées d'extrême droite dans le débat public", rappelle Marlène Schiappa, qui ne s'oppose pourtant pas à sa présence dans l'arène. "Nous vivons en démocratie (...). Eric Zemmour a parfaitement le droit de se lancer dans la course pour réunir les 500 signatures des maires", a indiqué la femme politique. Pour autant, elle a précisé que, selon elle, le polémiste ne "représentait pas la tonalité profonde de notre pays". Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités

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