Marie Portolano : ses premières et drôles de confidences sur son mari Grégoire Ludig

Dans les colonnes de Libération, Marie Portolano s'était confiée comme rarement sur son mari Grégoire Ludig qu'elle a épousé il y a deux ans. Depuis la sortie de son documentaire Je ne suis pas une salope, je suis une journaliste, Marie Portolanoest sous le feu des projecteurs. La journaliste accuse notamment le consultant sportif de Canal +, Pierre Ménèsd'agression sexuelle à son égard sur le plateau d'une émission de télévision. L'occasion pour Libération de dresser le portrait de la jeune femme de 35 ans qui a accepté de se confier comme jamais sur sa vie privée. Auprès de nos confrères, Marie Portolano s'est laissée aller à quelques confidences sur son couple. Celle qui a commencé sa carrière en 2008 sur LCI a trouvé l'amour dans les bras de Grégoire Ludig, acteur et humoriste, connu pour être l'un des membres du Palmashow. C'est en 2013, sur le plateau de Beinsport qu'ils se sont croisés pour la première fois alors qu'ils étaient tous les deux en couple. Mais ce n'est que quatre ans plus tard, lorsqu'ils étaient à nouveau célibataires que Grégoire Ludig a repris contact avec la présentatrice. Si cette dernière a dans un premier temps refusé les avances, elle s'est finalement laissée prendre au jeu de fil en aiguille. Ainsi depuis deux ans, les tourtereaux sont unis par les liens du mariage. Plus amoureux que jamais, les époux viennent d'ailleurs d'acheter une maison ensemble à Plougasnou, sur la côte finistérienne, là où Grégoire Ludig a fait sa demande à sa belle. Soutenue par son mari dans ses projets, Marie Portolano affirme même que celui-ci a eu un rôle à jouer dans la réalisation de son documentaire explosif : "Ce documentaire n'aurait probablement pas existé si je n'étais pas avec lui. Grégoire, il a la solution à tous les problèmes". Une jolie déclaration. Marie Portolano pense à la "génération d'après" Depuis 6 ans, Marie Portolano est aussi maman d'un petit garçon prénommé James né d'une précédente relation. Un fils auquel elle souhaite transmettre de belles valeurs de respect. Si elle affirme dans Libération que son documentaire n'est pas forcément à percevoir comme une lettre d'adieu au monde du journalisme sportif, elle explique que celui-ci a surtout pour but de "passer un coup de balai pour la génération d'après" : "Je n'avais pas l'impression de briser un plafond de verre. Plutôt de pousser une évolution qui est déjà en cours" a-t-elle conclu. Inscrivez-vous à la Newsletter de Closermag.fr pour recevoir gratuitement les dernières actualités