Léa Drucker : ces lourds secrets que lui a caché sa cousine Marie, "elle a toujours été comme ça"
Actrice césarisée, on pourrait penser que Léa Drucker a prodigué quelques conseils à sa cousine Marie, qui vient de se lancer au cinéma. Mais il n'en est rien selon la comédienne, qui révèle qu'elle n'était même pas au courant de ce nouveau projet.
Des secrets bien gardés. Après des débuts sur grand écran au début des années 1990, Léa Drucker a enchaîné les rôles au cinéma et à la télévision. Désormais forte d'une longue carrière de comédienne auréolée d'un César de la Meilleure actrice en 2019, elle semble avoir été en bonne place pour prodiguer à sa cousine Marie Drucker, des conseils pour se lancer dans le cinéma. En effet, la journaliste a récemment créé la surprise dans le film Un autre monde de Stéphane Brizé, où elle donne la réplique à Vicent Lindon et Sandrine Kiberlain. Toutefois, Léa Drucker l'assure : elle n'a joué aucun rôle dans le nouveau choix de carrière de l'animatrice d'Infrarouge.
"Marie est très mystérieuse", assure ainsi Léa Drucker au Parisien, en kiosques mercredi 30 mars, précisant avoir découvert que Marie Drucker s'était lancée dans le métier d'actrice en la voyant à l'affiche du film de Stéphane Brizé à sa sortie. "Elle a toujours été comme ça. J'ai appris qu'elle était journaliste en allumant ma télé et en la voyant interviewer un colonel", a-t-elle ainsi précisé. Mais pas de rancœur pour l'actrice, qui n'en veut pas du tout à sa cousine de ne pas avoir fait appel à elle pour préparer son rôle. "Le film est super et ce qu'elle fait m'impressionne", a-t-elle conclu.
Léa Drucker a-t-elle des enfants ?
Fille de Jacques Drucker et nièce de Michel, Léa Drucker a choisi comme de nombreux membres de sa famille la lumière de la télévision. Toutefois, dans sa carrière, il est également question de cinéma pour celle qui a débuté comme chroniqueuse sur radio Nova, avant d'en baver sur les planches avec Roger Hanin. Maman d'une fille, née en 2014, la comédienne a décidé d'appeler celle-ci Martha, malgré les avertissements de son entourage. "Je pensais à la pianiste Martha Argerich, une femme éblouissante et une artiste intraitable dont j'admire la force de caractère", avait-elle ainsi confié pour expliquer ce choix, ajoutant qu'à travers ce prénom, elle souhaitait "favoriser un tempérament de résistante chez [sa] fille". "Qu'elle ait une force que j'ai parfois regretté de ne pas avoir", avait-elle conclu.
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