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La France prévoit 3 millions de vaccinations de plus cette semaine

Alors que plus de 15 millions de personnes ont reçu au moins une dose de vaccin en France et plus de six millions deux doses, Olivier Véran table sur trois millions de vaccinations  contre le Covid cette semaine. Il note également une amélioration de la confiance des Français à l'égard d'Astrazeneca.  La vaccination s’accélère. La France espère trois millions d'injections supplémentaires contre le Covid-19 cette semaine, a déclaré, mardi 4 mai, le ministre de la Santé.   Ce dernier a déclaré constater une amélioration de la confiance à l'égard du vaccin d'Astrazeneca.  La vaccination contre le Covid-19 a été étendue depuis samedi à tous les adultes présentant des facteurs de risque de développer une forme grave de la maladie.  D'après le bilan communiqué la semaine dernière par la Direction générale de la Santé (DGS), plus de 15 millions de personnes avaient reçu au moins une première dose de vaccin en France et plus de six millions deux doses.  "Le bon sens" Interrogé à la radio dans la journée, le ministre de la Santé, Olivier Véran, a en outre justifié, au nom du "bon sens", l'ouverture aux injections pour tous les adultes sur simple déclaration d'une maladie chronique, au moment où les indicateurs de l'épidémie de Covid-19 s'améliorent. "On a fait le choix du bon sens", a répondu le ministre sur Europe 1, interrogé sur une volonté du gouvernement d'ouvrir la vaccination "à tous", mais sans l'annoncer officiellement. "J'aurais pu demander à quatre millions de Français", les 18-50 ans obèses ou atteints de maladies chroniques, "d'aller chez leur médecin, embouteiller les cabinets médicaux en pleine vague épidémique, pour leur demander une attestation selon laquelle ils auraient une maladie", a-t-il développé, mais "je fais confiance aux Français". "Il y aura peut être des stratégies de contournement mais ce sera à la marge", a assuré Olivier Véran, en ajoutant qu'il appartenait "aux équipes médicales dans les centres (...) de faire le point avec les gens qui viennent se faire vacciner" et que les plus vulnérables restaient prioritaires. Le ministère de la Santé a précisé que la prise de rendez-vous se ferait "sur déclaration" de ces comorbidités et qu'aucune prescription médicale ne serait exigée. Avec Reuters et AFP

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