“Ils sont protégés par la loi” : une candidate de L'Amour est dans le pré au centre d'un infernal fait divers
Face aux caméras de CNews dans la matinée de ce mardi 26 octobre, une candidate de L'amour est dans le pré a fait part de sa détresse, au cœur d'un infernal fait divers.
Prétendante éconduite dans L'amour est dans le pré, Marie-Ange Dematis se bat désormais contre un souci de la vie quotidienne. Au centre d'une infernale déconvenue, elle a témoigné face aux caméras de la matinale de CNews, ce mardi 26 octobre. Mais que lui arrive-t-il ? La maison de son père octogénaire, située dans le quartier des Isards à Toulouse, est squattée pour la troisième fois en l'espace de deux ans. "Ce qui se passe c'est que nous avons été squattés le mardi 19 octobre vers midi", a-t-elle confié. "Ce sont des voisins qui ont prévenu mon père en disant 'encore, pour la troisième fois, ta maison est squattée'. Il a de suite réagi en appelant la police mais impossible de les déloger."
Marie-Ange Dematis emploie les grands moyens pour déloger les squatteurs qui ont fait de la demeure leur propriété. "C'est très injuste parce qu'ils ont cassé le portail, ils ont tout cassé... La porte intérieure pour rentrer. Et là impossible de rentrer dans la maison parce qu'ils ont changé les serrures, les cadenas." Une lutte qui paraît d'autant plus difficile puisque les individus - présumés violents - connaissent leurs droits. "Ce qu'il y a de terrible c'est qu'ils sont protégés par la loi donc je trouve ça pas normal et en plus très souvent ils s'attaquent à des personnes âgées", a ajouté la candidate à L'amour est dans le pré.
Marie-Ange Dematis : "c'est infernal"
Résultat, le père de la candidate de L'amour est dans le pré a été "mis à la porte", alors qu'il tente de revendre sa maison depuis quatre ans. Vente qui pourrait ne jamais avoir lieu dans le cas où les squatteurs ne sont pas évacués des lieux. "C'est devenu un bunker, une forteresse cette maison donc on est obligé de s'en débarrasser et en plus la vente met très longtemps. Squattage tous les ans. C'est infernal." Marie-Ange Dematis s'en remet aux autorités et a lancé un appel au président de la République.
"Mon père est le deuxième parce qu'il y a eu une première victime, un monsieur âgé de 88 ans, à deux kilomètres. Après nous ce seront d'autres personnes donc il faut que ça s'arrête, il faut que les pouvoirs publics réagissent rapidement", a lancé Marie-Ange Dematis. "Monsieur le Maire, Monsieur le Préfet, Monsieur le Procureur de la République, Monsieur le Premier ministre et même Monsieur Macron, il faut arrêter ça, il faut que ça change de camp."
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